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30 avril 2011

L'imagination s'emporte et frole le néant. (Editer 3 fois)

On va reprendre Zombie dans le personnage principal, je n'est plus envie de me chercher des noms qui ne sont que morceaux d'états d'âmes, alors que l'histoire serait la même. Serait-elle différente si l'on l'appelait Adhélia ou Dumas? Non... En aucune façon alors c'est pour cela que je vais m'étaler, de fond en comble dans cette histoire qui ne sera ni fantastique ni merveilleuse, elle ne sera seulement ni idyllique mais réelle, pensé et lyrique donc.

Appelle t on histoire réelle celle qui est tiré d'histoires vrai? Oui. Celle qui porte de vrai sentiments? Oui. Celle qui a pour unique but d'informer ou convaincre un lecteur lambda? Non en aucune façon, alors j'écris pour étaler ce que j'ose encore pensé, si pensé il y a et dans quelle mesure elles ont étés amenés à se confronté de cette façon.

Le chemin d'une pensée est sinueuse, elle est lunatique et émotive. Sensorielle. Quand l’on touche la peau d’une personne qui se trouve ardente, on la retire et l’on se dit qu'il est malade. Pas forcément. La chaleur corporelle résulte à la fois d'un phénomène atmosphérique, comme beaucoup aiment à le penser; En été la peau est chaude, en hiver elle est froide. Pendant ces périodes d'extrême, elle se trouve changeante. Pas tout à fait, pour d’autres personnes, plus rares, je ne prendrai pas le loisir de compter ces rarissime cas, j'en fais toutefois parti. L'histoire restera la même. Certaines personnes, changent leur températures corporelles et cela ne dépend pas de leur volonté, simplement par leur état d'esprit sur le moment, leur humeurs?

Quand ils se sentent seuls, tristes, déprimés; incompris peut être? Et cela résulte alors d'une baisse/chute de leur température corporelle et vient à la conclusion suivante; Rare sont les personnes qui sont au courant.

Après cette courte introduction, j'en viens à l'histoire. Ce qui me passe par l'esprit est: Étoile, Nuit, Maladie, Choix, Chemin, Contraintes, être soi Même.

Comptez dessus, ce sera sans doute long mais au moins le compte y sera, le chat noir sortira alors de mon esprit pour enfin retrouver les cieux.

Imaginons un endroit assez restreint, peu importe le pays... France, US, Grande Bretagne... Quoi que... Prenez le cas de la Grande Bretagne. L’époque? Au dix-neuvième siècle. Pourquoi?

Parce qu'elle apporte la sérénité, comme certains lieu nous calme, celui ci me semble approprié pour ce conte. Il est à la fois noir, comme lumineux… Surprenant et Mystérieux. Rare sont ceux qui continuerons la lecture à la vue de la longueur de celui ci, et j'encourage les plus courageux qui ont soif de connaissances et de récits détaillés, enchainés et qui se perdent dans leur propres phrases longues et dénués parfois de sens réels. L'écriture vient de l'esprit, si l'esprit est perturbé, ô combien même je voudrais écrire et vous raconter ce qui me tracasse, il ne vous sortirai que des excuses du genre: "j'ai mal", 'stupidité humaine", etc… Rien de passionnant et que du déjà vu. Pourtant certains choix que nous effectuons dépendent de tout et de rien. Comme le ciel dépend de la terre, pourtant ils ne sont pas en liens directs eux non plus.

Comme ma tête n'est pas relié à mon cœur. Ma tête à peine à réalisé ce que j'ai oser faire quelques heures plus tôt... Couper mon cœur de ma seule et unique raison de vivre. Ô combien je peux l'aimer si vous le saviez, et pourtant, je l'ai fais. Car mon cœur souffrait. Alors pourquoi?

Parce que même le plus sadique des cœurs et des êtres peut un jour tout avoir envie de plaquer à terre et de se laisser mourir à terre seul et sans raison. Parce que je soufrai trop pour le supporter et la tête a pris le dessus sur mon cœur et l'a protégée, alors je l'ai écouté. Qui sais combien l'on peut pleurer de sembler faire des erreurs ? De crier d'une voix suraigüe notre stupidité affligeante? Non... Personne. Et quand je dit personne, j'entends tout le monde, car tout humain à déjà connu la peine et le regret. Mais, cher de vous… Avez vous essayer de tout faire pour le mieux mais que finalement tout échoue ? Oui... Tout le monde encore. Alors pourquoi regretter si on fait ça pour le mieux? Car ça n'apporte que souffrance, regret (encore) et inutilité de l'acte. Alors, notre acte semble nul. Quand, encore, j'entends "nul", j'entends effectuer une action, puis qu'elle se retrouve "annulé" comme la création et destruction de l'URSS, on nous a assurer que s'était considéré comme "nul" car c'est comme si elle n'avait jamais exister si elle a été détruite car elle n'a plus eu d'état d'être et n'est donc plus.

Premièrement, imaginez une pluie sans fin, fine et froide tombant d’un ciel orageux… Un quai sombre et miteux dans le port du monde. Londres à sa belle époque. Lorsque les navires accostaient, que les personnes fortunés se faisaient poignarder dans l'ombre d'une ruelle et retrouver dans un caniveau proche le lendemain ou la semaine suivante. Le lieu où jadis, Jack l'Éventreur a vue l'aube de ses premiers meurtres.

Oui, si nous parlons de Jack L'Éventreur, anglaisement parlant "Jack the Ripper", nous parlons de la fin du dix-neuvième siècle, plus précisément, 1888, lorsque ses premières victimes n'étaient autres que 5 prostitués dans le quartier de Whitechapel. Terrifiant? Sans doutes. Réel? Encore plus.

Ce qui rajoute à ce conte un aspect culturel et glauque. (Cela va s'en dire aussi bizarre soit il, passionnant)

L'interdiction de la commercialisation de l'opium eu lieu 14 ans plus tôt, saviez vous qu'Edgar Allan Poe, autre que le célèbre nouvelliste américain en était consommateur? Peu importe ce futile détail, il n'aura pas lieu ici. La guerre de l'Opium qui engagea La Grande Bretagne avec le Port de Chine qui n'emporta aucune des deux guerres malgré qu'elles soient un prolongement successif l'un de l'autre, avait eu lieu 24 ans plus tôt, d'où la Corée devint alors Indépendante et la légalisation du commerce d’opium en Chine à nouveau. L’importance dans l'histoire ? Toute histoire a un certains aspects culturel et historique.

Faire les choses à moitié sont peu de choses pour moi, a occupé son temps, autant le faire en se cultivant, surtout à entendre la populace dire l’ignorance de ma personne. Cela ne m'intéresse plus. Dès l'âge de 13 ans je connaissais de cœur toutes les constellations et nébuleuses environnantes et éloignés de notre système et leur constitutions minérales. Les plantes et leurs effets divers et variés, du moins les plus reconnus, aussi médicinales et meurtrières soit elles. A 14, j'avais décidé d'écrire un roman long et fantastique, basé sur trois personnes qui m'inspirai avant de le laisser à l’abandon.

Tout cela avant de tout laissé de coté pour une personne qui changea tout mon être. Avant cette rencontre, ce qui résonnait en moi était Singularité, Indépendance, Liberté, Malice, Manipulation et Frivolité autant amicale que amoureuse. Depuis, ce fut Honnêteté, Loyauté, Courage, Force, Lumière et d'autres tellement grande que les mots seraient limités. Or, les mots servent à décrire ce que nous pensons, ressentons et faisons. Ici, ça ne serait rien à comparer tout cela. Pourquoi avoir changé? Pour ne pas le décevoir, voir que l'on compte vraiment pour quelqu'un, et réciproquement parlant. Lui apporter courage et soutien, lui montrer le chemin à suivre. Mais quand l'on a plus rien a apprendre à une personne ou que l'on ne lui semble plus apporter grand choses, que tout à changer, peut on continuer? J'écris pour justement essayer de trouver une solution, comme une autre pour réparer tout cela, ou si ce n'est le cas pour essayer de comprendre pourquoi, comment, ce qu'une personne normale peut ressentir à de tels moments.

La normalité peut alors être subjective, mais parlante. A qui sait voir, entendre et sentir. Des sens instinctifs que l'on ne suit pas forcément, manque de courage flagrant.

Zombie se trouvait alors sur le toit d'un bâtiment exposé au port de Londres. Assis les jambes tombant dans le vide, il scrutait le port, rêvant de contrés lointaines. Comme beaucoup de jeunes et rêveurs à l'époque sans doutes. La pluie lui tombait sur les cheveux, coulant sur ses joues, perlant sur lui. L'orage lui faisait face, peu importait à son cœur, celle qui se trouvait dans sa poitrine semblait s'exposer au monde et éclatait à la ville qui se trouvait à ses pieds désormais. Il balaya des yeux les ruelles au dessous de lui et y vit une ombre fugitive. Nombres de personnes passaient par là, ne souhaitant être aperçu... Crimes malsains, actes divers dans la pègre, frivolités parfois incongrus, malgré cela, Londres, comme tout autre villes renfermés ses secrets et ses malfrats.

Un bateau arriva à quai, les marins resté sur le quai aidèrent les marins sur le bateau a accosté. Le plus cher désir de Zombie était de savoir la raison de sa vie, comme beaucoup d'autres encore qui avaient, finalement abandonné cette raisonnable quête pour l'alcool, certaines autres drogues et autres péchés auxquels les hommes ont sût facilement succombé. Où la raison se noie et ne peut en sortir par peur d'avoir mal ou se perdre devant l'étendue des possibilités qu'ils pourraient avoir à leur portes mais la ferme car cette perspective est trop grande pour eux. Or, ne jamais avoir peur de sa propre ombre est une infime partie de ce qu'un homme peut faire et avoir.

Les quais étaient maintenant chargés de caisses et cargos de toutes tailles. Ils les chargèrent dans des cargos encore plus gros et les laissèrent sous la surveillance de quelques soldats aguerris, jusqu'à l'arrivée de carrioles à destinations des trésors royaux et autres lieux de commercialisations.

 

Il était alors temps pour Zombie de partir. Ses parents, morts d'une maladie encore plus futile que semblait son existence, le laissèrent à une vie misérable et un état de précarité des plus moindres. Il logeait là où l'on lui permettez, une ruelle parfois, une famille accueillante. Ce soir, le soleil se lèverait sans doute dans quelques heures, le sommeil ne l'étreignait pas encore.

Non loin de la voie Buck's Row, à l'ouest de WhiteChapel, le quartier le plus malfamés et abritant au nombre de répertorié de la police environ 8 600 putains et aux nombres de la presse, environ 20 000, une distorsion bien trop importante mais qui vous donne son aspect historique, culturel et vous laisse imaginez les quartiers abritant des femmes de tout âges dans des rues tardives. Zombie entendit alors un crie strident. Une femme sans doute. Son cœur se faisait entendre alors à mille battement secondes. La peur le dévora, l'excitation, dans son état péjoratif du moins, il était tétanisé d'une telle horreur, il ne savait que faire, tous ses membres étaient figés et son esprit n'arrivait qu'à peine à lui faire expiré quelques brises rapides.

Il tourna alors la tête, une ombre porté arrachait un couteau de la gorge d'une jeune demoiselle désormais étendue morte, gisant sur le pavé de la ville. Zombie, compris qu'il était sans prétention, l'indiscrétion à l'état pure du terme. Il se poussa alors contre le mur de la rue et observa la scène du mieux qu'il pu. La ruelle était à peine éclairé, les réverbères de ce quartier n'éclairaient qu'à peine les pas que l'on faisait, si de mésaventures l'on avait l'idée de s'aventurer seul dans l'ombre de la nuit, il n’y avait alors d’autres explication que l’inconscience. L'agresseur, apparemment pas pris de peur d'être dans un endroit aussi exposé, continuait son chef d'œuvre corporel sur sa victime sanglante. Personne ne viendrait voir ce qui s'était passé, si quelqu'un avait entendu ce cri, il n'irait pas voir, de peur d'être aussi agresser et retrouver dans la chronique nécrologique du journal du lendemain. Si par mégardes, quelqu'un se retrouver dans la même ruelle alors que ce même agresseur qui eût à peine le temps d'effectuer son méfait, il ferait sitôt de s'enfuir en courant ou se cacher le plus vite possible afin de ne pas être victime, lui aussi de ce personnage.

Mais alors, que faisait Jack l'Éventreur pour précision? Il égorgeait ses victimes. La suite, est désormais moins joyeuse et festive, Zombie en eût l'appétit coupé, pourtant ce gars était le gourmand et goinfre par excellence. il vit l'Agresseur, ici il n'eut aucun nom pour la simple et bonne raison que s'était le premier officiel meurtre de Jack l'Éventreur, malgré que l'on suppose encore et toujours qu'avant ça il en eut égorgé et mutilés d'autres mais ce n'est pas le sujet principal. L'agresseur, tout de noir vêtu, découpa les vêtements de la victime, apparemment une putain à la fleur de l'âge, qui avait sans doute trop vécu, ou peut être pas assez, dans l'ombre, Zombie aperçu un objet brillant dans la main recouverte de gant de l'agresseur.

Sans doute un scalpel ou un couteau en argent. Il découpa alors la peau du bas du ventre jusqu'à la cage thoracique de la victime. Que nous saurons plus tard, s'appelait Mary Ann Nichols. Il en extrait des boyaux dont Zombie ignorait ce qu'ils étaient alors. Il y introduisit son scalpel, son instrument de torture dans le corps de la victime et semblait faire des gestes tranchants, il n'arrêtait pas son crime à un simple meurtre mais à une mutilation pure et dure. Son acte rentra dans la perversion lorsqu'il ouvrit la bouche de la victime. Zombie se pencha de plus près pour y voir plus clairement, vit la langue de la victime coupée entre les doigts de l'agresseur. Cette vision d'horreur le hanterait jusqu'à sa mort. Si ce n'était plus.

Par simple confidence, les images de cette acte horrible me hante encore, internet peut aussi bien être un endroit magnifique, brancher de toiles en toiles, vaguant à notre simple envie. Ma curiosité m'a alors poussé trop loin, voulant effectué des recherches, je tombai alors sur les photo des victimes de Jack l'Eventreur, mortes, dans toutes leur "splendeur" morbides et naturels. Naturel car la mort est naturel, or la cause de leur mort et l'horreur de cette acte l'est moins.

Zombie, pétrifié, recouvrait ses idées, malgré qu'elles soient encore submergés par cette vision nocturne horrifiante. Discrètement, il regarda en direction de l'assassin qui arrivait dans sa direction. Il se plaqua alors contre le mur, et tomba dans une ruelle qui fit tombé quelques déchets ci et là. Le brouhaha surprit l'assassin qui s'arrêta devant lui. Dans l'ombre de la ruelle, Zombie recula par peur de ce meurtrier. Il était apeuré. Il voulait s'enfuir mais hélas, ce n'étais qu'un cul de sac, nul besoin de regarder derrière lui, il le savait très bien, ces ruelles étaient son terrain de jeu, or là, il échouait sur tous les tableaux possibles. Le visage du meurtrier, bien que caché par la pénombre, était recouvert par nécessité apparente d'un foulard noir. Un chapeau recouvrait son crane, il était par rapport à Zombie, de grande taille, la taille fine et assez bien portant. Son identité ne risquait pas d'être révéler, autant que l'identification de son âge ou de son sexe. Le meurtrier rangea le morceau de langue et son scalpel dans une poche intérieur de sa blouse sombre et se pencha devant Zombie.

Zombie pouvait voir les yeux de l'agresseur. Ils se regardèrent pendant quelques secondes. Les yeux plissés de Jack scrutaient le bleu des yeux de Zombie. Soudain, Zombie cessa d'être apeuré. Sa confiance revint, son instinct lui disait que son heure n'était pas encore venu. Pas pour lui, pas maintenant. Malgré ses 17 ans, il était encore sain de conscience, adroit d'esprit et audacieux malgré quelques maladresses.

- Alors l'Ami, l'on se promène dans la nuit? Sais tu que peu de gens recommandables y font escales?

La voix de Jack était plutôt féminine. Elle avait l'allure maline, mystérieuse, douce et pourtant, telle une rose, elle pouvait piquer et Dieu seul sait à quel moment.

- Je… je ne savais pas... Vous voulez dire... Des gens tels que vous? Essaya d'articuler Zombie, surpris d'une conversation possible avant sa possible mort

L'agresseur, sous son foulard, sembla esquissé un sourire. Ses yeux brillèrent dans l'ombre, ce qui attisa d'avantages la peur de notre héro.

- Oui, des gens tels que moi, mais personne n'arrivera jamais à ma hauteur, à ma humble prestance de niveau tel que je l'ai prouvé ce soir mon jeune ami. Sais tu ce qu'est servir un intérêt ? Avoir un but?

Non, il l'ignorait. Pour la simple et bonne raison qu'il était vide en lui même. Il ne connaissait personne qui sut changer sa vie de façon radicale, c'est pour cette raison qu'il douter même de son existence propre. Son but? Celle de changer radicalement de vie et de vivre sa propre vie selon ses propres règles dans un autre pays. Recommencer à zéro et essayer de survivre par ses propres moyens.

- Non... je l'ignore. Je n'aurais jamais dû naître, c'est tout ce que je sais, il dit cela, sans savoir pourquoi hélas

Ce qui va démarrer notre nouveau chapitre, malgré son étrangeté. Là, fut le premier choix et le mauvais qu’est pu effectuer ce héro. A mourir en héro, tôt ou tard, il aurait mieux fait de mourir sur le champ, mais sa peur de l'inconnue était encore trop profondément ancré en lui. De ce fait, il n'y aurait d'histoire si le héro décédait dors et déjà avant l'action principal, avant l'idée que je recherche encore, avant le pourquoi, avant le comment de tout cela. Cela fait deux heures que j'écris et pourtant il semble que ça en fait une semaine de recherches, une recherche d'un trésors précieux, un trésors moral et rare. Je recherche la rédemption, un but de mes actes. Or celui d'amour.

J'ai appris tellement de choses, ou plutôt, rappeler, car ce que j'annoncerai nous en avons tous conscience seulement nous n'y pensons pas ou parfois les raisons ne paraissent plus si évidentes qu'au début. Ce héro fait et à fait un choix peut être assez mauvais, relativement parlant, car un choix n'est jamais réellement bon ou mauvais, c'est juste pour les raisons que nous le prenons qui sont parfois bonnes ou mauvaises. Peu importe, si il n'aurait pas effectué ce choix, il n'aurait pas connu par plus tard, l'amitié, ni n'aurait connu le sentiment de se sentir vivant pour une fois dans sa vie, ce qu'est de tenir à une personne même si ça semble fou. Oui fou, car personne ne lui témoignait grande affection. Car j'ai fais tous mes choix par peur, par mal et par dépit. Tout ce que j'ai jamais connu, à part une exception qui semble tellement naturelle, que je doutais de l'amitié, l'affection que portais une personne, sa période du moins. Pour ma part, une amitié, l'amour, l'affection s'en va en vapeurs après quelques mois, années… Pas forcément. Le trésors que je recherchai et que je viens de trouver, c'est l'amitié, l'affection, l'amour, l'humanité a bien un trésors qu'il cache derrières de la souffrance pour pouvoir l'apprécier, car sans souffrance peut on être heureux? Voir les changements? Pour avoir froid, il faut pouvoir avoir chaud… Oui, c'est la règle du Ying et du Yang, Toutes choses sont opposés mais parfois ne sont pas si évidentes que cela...

La fièvre me brule désormais... Le souffle coupé. Le rapport à l'histoire? Certaines personnes écrivent lorsqu'ils sont inspirés… Ca n'est pas mon cas, juste lorsqu'une douleur afflux sur ma personne, l'écriture me vient pour me libéré de chaines et autres démons… Pour en revenir au cas de Zombie, pauvre adolescent manquant d'affection et apparemment de courage comme il l'a pu le prouver quelques lignes plus haut, son histoire ne fais que commencer..

L'agresseur se redressa soudainement, décrochant un sursaut involontaire de Zombie. Il le regarda tourner les talons, puis se retourna en lui disant:

- Suis moi. Fait vite.

La voix avait changé, elle était autoritaire, sèche. Zombie s'empressa alors de se redresser et de suivre son interlocuteur sans posé de questions. Tout au long du chemin, Zombie détaillai le trajet par lequel ils passaient afin de pouvoir, si l'occasion se présenté, de s'enfuir à toute vitesse sans pouvoir se perdre. Or, il ne connaissait aucunes des rues qu'ils empruntèrent. Le paysage était le même, des rues sombres, éclairés par quelques réverbères ci et là, mais aucunes échoppes, aucunes personnes vivantes se trouvaient dans les parages. Puis, l'agresseur changea soudainement de route, se tournant vers un escalier renfermé dans une ruelle glauque et d'apparence malfamé. Il monta les marches unes à unes, suivi de près par Zombie, qui subissait encore des hésitations après se douloureux souvenirs mortuaires. S'il aurait du mourir, il l'aurait été depuis bien longtemps… Il rentra dans la baraque.

Une petite pièce plongé totalement dans l'obscurité se présentait devant lui.

- J'espère à grand regret, que tu tiens tes promesses mieux que tu ne sais te cacher?

- Une promesse? Zombie ne comprenait pas plus que tout ce qui s'était passé avant cela

- La promesse que, tout ce qui s'est passé restera sous silence. La promesse que tu m'aidera et que tu ne t'enfuira jamais ou cherchera à me causer du tord ou même à révélé qui je suis.

Le ton se faisait plus menaçant, comme une obligation à donner sa vie pour subir. Zombie en avait, hélas pas conscience. Son silence lui coutera bien des soucis. Ce qui fait l'étude de tout ça. Le courage ne tient qu'à un fil, brisez le et vous aurez un destin tragique, influencer de tout ce que nous avons pas su maitriser ou/et prendre en main. Rajoutez-y un âge peu mature, donc une perceptible envie, du jour au lendemain de tout envoyer en l'air et ne plus rien devoir faire par obligation et ne pas s'attendre a en subir les conséquences. Ce qui lui traversa l'esprit en donne la pure confirmation:

- Je vous le promet. Le ton de Zombie aussi avait changé, elle était plus assurée, serti d'une idée encore plus immature et dangereuse qu'il ne l'aurait pu imaginer.

- Bien, alors va dormir, L'agresseur lui désigna du doigt encore ganté un coin sombre de la pièce que Zombie n'avait pas encore remarqué jusqu'à présent. Une fenêtre de la taille d'une valise se trouvait au dessus, un lit formé un angle en parallèle avec le mur tapissé.

Or, le plan de Zombie commençait à peine encore à s'élaborer dans sa tête qu'il passa à la première étape de son plan:

- Je m'appelle Zombie. Il regarda son interlocuteur, qui lui répondit:

- Alice.

Sur ce, il tourna les talons, s'en alla s'étendre jusque dans le lit où reposer une unique couverture de laine et la disposa sur lui. Malgré que l'on puisait y sentir des crevasses à certains endroits, la fatigue le rattrapait, ces journées étaient éprouvantes, mais c'est nuit étaient des plus longues et fastidieuses. Ici, il avait au moins la liberté, quoi que liberté restreintes par l'impossibilité de s'enfuir, de dormir à son aise pour un temps encore indéterminé. Le sommeil le prit et ses rêves miroitaient sur son visage crispé.

Un brouillard épais se formait autour de lui. Je vous rappel, encore, que ces détails ne sont que tiré que de réel et aussi sont pour la plupart flou car rien de tel que des chimères nocturnes pour nous évadés le temps d'une nuit et s'en aller au réveil? Là encore, ces rêves sont aussi flou qu'au réveil, si ce n'est encore plus par les journées qui passent. Le rêve est le miroir de la peur, du subconscient et du conscient, de notre volonté profonde et pourtant certains s'y refusent à y croire. Loin de moi l'idée ici de convaincre, mais plutôt de vous enseignez ce qui a une logique certaine, ou pourrait en avoir.

Le brouillard l'envelopper, il y avait des plateformes sur lequel des centaines de personnes arrivaient. Il se trouvait au dessus d'eux, avec des personnes qu'il semblait connaître. Dans le creux de ses mains, il tenait un objet précieux, malgré qu'il ignorait ce qu'il était, il savait qu'il était précieux, précieux pour lui, pour son cœur. Ces personnes aussi l'étaient. Par contre, ces personnes en masses qui dévalaient une vallée pour arrivé vers eux étaient des personnes mauvaises. Un détail oublié. Un important passage que j'ai malencontreusement oublié néanmoins, je le garde en mémoire, car on peut parfois oublié la forme d'un souvenirs, mais l'en n'oublie pas le fond. Le fond était un sentiment affectif. A titre indicatif, dans ce rêve, Zombie était perdu, il avait mal.. Comme jamais. Les personnes dangereuses se rapprocher, le gouffre était à ses pieds, s'étendant au loin. Il tourna le dos au vide, regarda une personne, fit pied en arrière et tomba. Sa chute dura 5 à 6 secondes, assez pour qu'il s'écrit quelque chose. Deux fois. Il a répété ses mots deux fois. Or, dans son sommeil, les sentiments le traverser à tel point qu'il les murmura dans la nuit.

Il se réveilla soudainement. Le jour perçait par la fenêtre, sa chaleur corporel augmenta suite à la couverture et aux rayons du soleil posés sur lui. Il retira la couverture, mis pieds à terre et observa la pièce.

La porte lui faisait face. Une porte déglingué et en piteux état. Sur sa gauche, une petite salle servait de mangeoire, elle était plus petite que la salle dans lequel il se tenait. Sur sa droite, un pot de chambre et une sorte de baignoire aménager dans une grande bassine pour adulte en bois, vidé d'eau. Au milieu de la pièce où il se trouvait était placé une petite table de bois et deux tabourets. À l'extrémité du lit présentait une petite cheminée de pierre grises et d'aspects rugueuses. La fumée s'évaporer des braises encore chaudes mais éteintes.

Il été l’otage d’une femme et de sa propre volonté. Il avait fait une promesse dont il ne pouvait s’échapper. Ne pas la respecté serait signé son arrêt de mort, alors pourquoi l’avoir faite tout de même ? Dans les deux cas, qu’il accepte ou dénigre la proposition, il aurait connu que la mort. Ici, dans ce cas présent, la mort viendrait le chercher dans un futur plus éloigné que la veille au soir. Où bien, lorsqu’il aurait décidé de sa fin, il n’aurait qu’à tenter de prendre la suite et son bourreau n’aurait qu’à lui prendre la vie. Malgré ce présent et ce futur incertain, il lui restait peut être une chance de rester sauf. Mais, chers lecteurs, où serait l’intérêt de lire une histoire si tout y est donné avant son commencement, avant sa chute finale ? Loin de moi l’idée de faire un monologue philosophique inquiétant, je m’en vais narrer encore la suite. Jusqu’à son apogée du moins.

La porte s'ouvrit rapidement, et une femme fine entra. Ses vêtements étaient guère appropriés à son sexe, son pantalon bruns lui serrer à la taille. Par dessus une chemise blanche, avait été placé une veste emmanchée noir, et des bottes hautes la chaussé. Ses cheveux bruns, son visage angélique cachait bien le monstre que cette femme ambigüe était. Il n'y avait que d'autres mots pour désigner ce qu'elle était. Un bouton de rose raffinée dentelé d'épines dangereuses et rustique, un sphinx, dont la tête était celle d'une femme banale, et son corps représentait la force et la violence dont elle pouvait faire preuve; Inhumaine. Il n'y avait d'autres pensées qui accaparaient Zombie, la victime, le captif.

Elle tenait dans sa main un journal, le journal quotidien de Londres. En souriant, elle le jeta sur la table et s'assit sur le tabouret. Elle réfléchissait. Il semblait qu'elle n'avait pas remarqué Zombie dans le fond de la pièce, qui la scrutait du regard. Lui aussi songer. Aux droits et interdictions qui le désigner comme captif de cette femme. Il se leva alors. Alice, le regarda enfin et le détailla des yeux. Ses vêtements étaient bien trop grand pour lui, mais s'était tout ce dont il possédait.

- Approche, lui dit-elle alors. Ce n'était pas un ordre, ce n'était qu'une requête étouffé dans un murmure.

Il s'approcha doucement. Il la détaillait aussi. Elle devait pas être bien plus vieille que lui. La trentaine. Pour une personne de son âge, elle était plutôt bien portante. Aucune maladie visible, aucune marques quelconques. Arrivé enfin au bout de la table, en face d'Alice, elle glissa le journal jusqu'à lui. La première page était tout à fait visible.

Un portrait mortuaire représentait une femme blonde, étalé sur la partie dorsale du corps humain, les yeux clos. Sa gorge coupé d'un trait fin et sombre sautait aux yeux. Le gros titre: MURDER YESTERDAY NIGHT.

Il jeta furtivement un coup d'œil à Alice, elle souriait, les yeux rivés sur la couverture. Il lu alors les paragraphes environnant la photo principal et le gros titre de la journée.

<< Le corps d'une femme à été retrouvé hier soir dans les environs de 5 heures du matin lorsque les policiers contrôlaient la ville. Nous n'avons pas encore pu identifié la victime mais nous sommes certains qu'elle ne dépassait pas la cinquantaine, nous lançons les appels à témoins et volontaires pour identifié le cadavre de la défunte. Ce meurtre a été commis dans la rue de WhiteChapel. Les détails de cette enquête restent hélas encore flous, mais nous appelons à la population de prêtez garde et à ne pas paniquer. Ce meurtre est d'une violence surprenante et le procédé utilisé par l'assassin restent particuliers. >>

Horrifié devant cette horreur, il tituba et s'assis sur le tabouret juste derrière lui. Il restait muet. Choquer de ce qui était arrivé, de ce que ce meurtre faisait de lui: Un complice. Aussi absurde que cela puisse paraître, il n'avait plus aucunes idées en tête. Il lui semblait qu'il avait reçu une douche froide en pleins sur son crâne et la fraicheur l'enfermait dans sa propre tête.

- Les idiots... Il ne sont pas prêt de m'arrêter, pourtant cela n'est que ma première victime, de façon officiel il va s'en dire... Dit, gamin, n'a tu pas de questions à posé, tu me parait un peu plus simplet que ce matin, remarqua Alice en se levant et commençant à allumer le feu dans la cheminée.

Zombie reprenait alors peu à peu ses esprits, sa raison et ses impressions. Ne pas se laisser duper par une belle apparence qui en fait, n'attendait qu'à ce que tu baisse ta garde pour pouvoir te dévorer dans ton sommeil.

- Pourquoi faites vous cela? Ce fut la première question qui fusa à son esprit de vagabond, et ce fut sans doute la plus censé et logique de toute l'histoire.

Elle attisait le feu dans la cheminée quand elle se tourna vers Zombie, recroquevillé sur le tabouret fragile, son sourire s'abaissa alors. L'état de jubilation dans lequel elle se trouvait quelques minutes plus tôt avait totalement disparu, faisant place à une sorte de colère intériorise, un mépris totale.

- Sait tu ce qu'est la trahison? Sait tu ce que l'on ressent une fois trahis? Connais-tu la raison de trahisons des plus communes et des plus méprisables en ce monde?

Zombie l'ignorait. En ne connaissant aucune personne, il ne connaissait la raison de certaines choses de la vie, ne connaissait que quelques rares sentiments comme la compassion, la pitié, l'admiration, le mépris et l'envie. Alors, en guise de réponse, il fit "non" de la tête. Apparemment déçu, mais pas assez pour montré qu'elle s'attendait à une réel réponse, elle posa ses longs doigts blanchâtre et approcha son visage du sien, murmurant:

- Des hommes que l'on épouse peuvent parfois montré de l'amour. L'amour, apprend le, ne dur qu'un temps. Savoure le quand tu le peux encore. Si ce n'est un mariage arrangé comme dans les hautes sphères de cette ville, dans ton cas je ne pense pas que ça t'arrivera, mais néanmoins, sache aussi que une fois l'amour parti en fumée, si Amour il fut, il est aussitôt remplacé par la volonté de voler de nouveau par ses propres ailes. Malheureusement, pour certaines dames, c'est un échec car la dépendance financière est un luxe qu'elles ne peuvent s'offrir en étant seules.

Elle marqua une pose. Sans doute pour reprendre son souffle ou bien pour pouvoir essayer de voir si Zombie avait compris un traitre mot de ce qu'elle avait dit. Elle continua alors en voyant qu'aucune trace de question ou d'incompréhension était visible sur son visage:

- Or, si l'amour a disparu, la passion ardente de ces époux envolé, que cette femme ai besoin uniquement de ressources financières, pourquoi l'homme resterait il à ses cotés? Histoires de descendance, d'habitudes qu'ils ne veulent brisé le moins du monde car un nouveau mariage serait pire que mal vu en société. Alors, sans que leur femme ne s'en rendent compte, ils vont batifoler ailleurs. Dans mon cas, cet homme... Ce monstre auquel je fut l'épouse, et dont mon bonheur a été celui d'être veuve désormais, ayant su que jamais je n'enfanterais suite à mon corps frêle, allait un jour se promener dans les rues de WhiteChapel dont il entendit dire que des femmes bien attentionnés et facile d'attentions (ici un intérêt lié à l’argent) se portaient garantes d'être l'hôtesse de leur plus chers envies.

Zombie comprenait. Tout a fait. Mais pourquoi Alice aurait elle assassiné cette femme la veille ?

-Cette femme, cette nuit, n'était qu'une parmi tant d'autres que mon cher défunt mari avait pour coutume de fréquenté la nuit lorsqu'il pensait que j'étais bercé dans les bras de Morphée.

La peur attisa l'esprit de Zombie, ou plutôt, la panique. Une excitation folle l'animait alors de l'intérieur, il ne voulait pas resté plus de temps avec cette femme bonne pour l'Asile. Il resta tout de même assis.

-- Alors, gamin, ce meurtre, n'était bien que le premier, mais je compte bien prendre ma revanche sur ces putains qui ont osés à la fois profité de mon mari, atteindre à ma dignité et posé les mains sur la personne qui était censé être mienne à jamais !

Note à vous, saviez vous que Jamais prend une dimension d'Éternité, or l'Éternité elle même ne durera pas. Elle prend une fin tôt ou tard, mais lorsque l'on dit à quelqu'un "Jamais", ce même mot entend une fin qui n'est pas encore proche, pas encore présente pour que l'on puisse l'apercevoir et pourtant l'on sait qu'un jour prochain, l'Éternité prendra fin.

-- Que comptez vous alors faire de moi? questionna Zombie, quitte à être prisonnier, autant en savoir le plus possible

-

-Bien entendu, tu ne séjournera pas éternellement ici, ma prochaine victime se nomme Annie Chapman, dans ce quartier aussi nommé "Dark Annie".

S'était le comble de l'horreur, la mort sur un plateau, un désastre de Lisbonne qui s'abattait sur sa tête près d'un siècle après encore frêle de rêveries douces et pourtant déjà corrompu par l'ambition d'une vie meilleure mais qui devenaient désormais impossibles. Alice avait de nouveau reprit cet air satisfaite à l'idée de faire du mal, de sanglantes victimes peuplant le pavé nuit après nuit, que la police s'efforcé tant bien que mal de démasquer et trouver les raisons de tout ceci. Elle se retourna vers la cheminée et en sorti deux morceaux de nourritures qu'elle posa sur la table et s'en alla dans le mangeoire en y cherchant du pain et s'assit de nouveau face à Zombie. Ils se fixèrent.

Zombie devait il manger de la nourriture qu'une inconnue, doublée d'une dangereuse meurtrière venait de lui offrir? Son ventre avait beau crier pitance, le doute demeurait jusqu'à ce qu'Alice aboi :

- Mange ou crève de faim. Ma salive ne se déverse rarement pour rien, alors si je t'ai narrer mon histoire fais en autant et mangeons !

Le choix et le doute ne se permettaient plus. Il pris un morceau de pain et commença à manger. Ce qu'Alice avait fait chauffer à la braise était des patates et un morceau de viande extrêmement sec mais consistant. D'où avait-elle les moyens de s'offrir légumes et viandes? Il fallait qu'il découvre toute l'histoire de cette femme cruelle. Malgré cela, il raconta à Alice ses soucis, son orphelinat précoce, ce qu'il aurait voulu faire de sa vie si jamais leur chemins ne s'étaient jamais croisés.

- Les rêves, gamin, sont comme l'Amour, un beau jour ils sont là, le lendemain en te levant, ils t'ont laissés à la bouche la soif de les retrouvés et ne plus être habité par ce sentiment de vide qui les remplacent à leur évasions.

Cette phrase laissa Zombie sans voix. Il s'arrêta de manger pour essayer de réfléchir un tant soit peut. Cette folle avait beau disséquer une femme de sang-froid, cette phrase le toucha à l'intérieur de lui-même.

- Continue donc ! dit elle comme si elle n'avait pas remarquer le silence dans lequel elle l'avait plongé.

Il opina quelques secondes, puis reprit, lui indiquant son âge et où il avait l'habitude de demander refuge. Alice avait fini de manger et elle continuait de le regarder. Il lui ressemblait de peu. Ses cheveux bruns n'étaient qu'à peines plus claires que les siens, ses yeux, bien que bleus auraient pu être celui de son époux mort. Dans sa tête, son propre plan avait été mis en place. Elle et Lui allait se disputé la vie de l'autre, la liberté de l'un, misant sur le temps et la force morale.

- Ce soir nous sortirons. Je t'apporterai dans l'après-midi des vêtements moins amples que ceci et je t'expliquerai ce que nous ferons, lui expliqua-t-elle en débarrassant les assiettes usés et sortant dans la rue bondé de passants, éclairé des rayons lumineux du soleil ardent de l’été.

La chaleur avait augmenté depuis une bonne environ à cause de la cheminée alors que la canicule touchait presque le cœur de Londres. Le mois d'Aout était particulièrement aride et dur. L'atmosphère était lourde, étouffante, écrasante.

Remarquez bien le changement d'ambiance environnant entre ces deux personnages. La peur et l'envie de fuir abritait par le début de leur rencontre Zombie, qui s'est vite habitué à cette femme bafouée et qui semble toutefois assez effroyable. Alice ne savait au début que faire du petit, s'est prise en pitié par son histoire tragique et simple et va vite s'attaché à lui par la suite. Zombie, lui, ne sait ce qu'est une mère qui porte de l'affection à son enfant, mais va le connaître par des gestes et preuves même si maladroites, sincères mais pas totalement réciproques. Zombie développera vite une partie de lui qui sera prise d'affection pour sa "seconde mère" mais une autre partie de lui va tout de même continuer à la haïr pour les crimes qu'elle aura fait. Non, rassurez vous, je ne vous raconte rien, juste en vous décrivant les scènes à suivre, essayez de comprendre la logique humaine, le parcoure qu'effectue une pensée, un sentiment avant de se retrouver au bord du précipice et s'y jete à pieds joints. Le principe est la mise en évidence du choix prochain à faire, par quoi l'esprit va passé pour devoir l'effectué, car on ne peut pas fuir ( et non jamais) ses problèmes indéfiniment. Dieu seul sait quel sort l'on nous réserve, si Dieu il y avait, bien entendu.

L'habitude de Zombie était, que par une belle journée ensoleillé comme celle-ci, qu'il soit dehors a essayer de voler, ou dans son terme plus soutenue "emprunter" de la nourriture pour ne pas mourir, ou bien d'aider quelques personnes qui en requièraient afin d'être payer et ainsi acheter librement sa nourriture sans risque évident d'être envoyer en prison. Ne sachant pas lire, n'en n'ayant pas apparemment besoin, il se débrouillait parfaitement par ses propres besoins. Sa vie était comme le vent, il allait où bon lui semblait, se laissant guider par ses plus passagères envies, se confrontant parfois, par maladresse, à certaines mésaventures. Mais n'étant pas encore autorisé à pouvoir sortir, il regarda par la fenêtre la populace environnante. Ils n'étaient pas comme Zombie pouvaient avoir l'habitude de les voir. Ces personnes semblaient heureuses, différentes de lui, elles paraissaient si éloignés... Mais autre chose les différenciés de lui, ou plutôt, quelque chose le différencié d'eux, car tous semblaient similaires alors qu'il était le seul qui ne paraissait pas élégamment vêtu et accompagné de Dames de compagnies ou de livres volumineux aux bras.Tout lui parut alors soudainement évident; la veille lorsqu'il essayait tant bien que mal de mémorisé ou retrouver l'endroit où Alice l'emmenait, et qu'il ne sache pas où ils allaient, était qu'en réalité, il n'avait pas connaissance de cette partie de la ville, car il ne la fréquentait pas. La bâtisse où logeait Alice était dans un immeuble d'une ruelle situé dans une banlieue de la population moyenne de Londres. Comment Alice pouvait s'offrir pareil luxe tout en vivant seule ? Il aurait le loisir de la questionné à se propos à son prochain retour.

Le temps, à ses yeux, passait à une vitesse ralentit, il ne pouvait s'occuper... il décida alors de voir d'un peu plus près cette bassine d'eau confectionné de bois sombres, rattachés par des barres de fer forgés. Entrant dans la petite salle, il vit une paire de ciseaux sur une étagère. Un miroir était placé sur un mur, de la taille d'un livre. Il s'y regarda. Ses yeux d'un bleu azur étaient cachés par ses cheveux désormais longs et sales postés sur son front, tombant jusque ses épaules. Son visage était recouvert de suie et de crasse causé par le temps et les intempéries. Il prit alors inconsciemment la paire de ciseau et décida de se les coupés. Or, il n'avait ni la manière de le faire, ni l'idée de ce qu'il pourrait bien essayer de faire. Mais, il fit tout de même, et le résultat en était satisfaisant. Il avait les cheveux désormais jusqu'à la nuque, ses yeux n'étaient aussi désormais plus voilés. L'idée principal y est. Car lorsque j'imagine une coiffure possible, j'en revois sans cesse une dans ma tête, or la récurrence est un sujet que j'essaye d'éviter et le dévoilement de faits personnels. Le plus important est qu'il entreprit d'améliorer l'image qu'il avait de lui même, et il réussi avec succès. Les travaux manuelles quoi que rustiques qu'il effectuait parfois au service de marchands et autres artisans, lui avait forgé une main habile et une perspective accrue des choses. Il était à la fois attentif, curieux, insouciant et vif d'esprit.

Une grande coupelle d'eau était posé aux pieds de la bassine de bois. Il supposa que son hôtesse n'allait pas lui en vouloir s'il se nettoyer un tant soit peu. Alors il prit la coupelle d'assez grande taille et la mis sur les cendres de la cheminée. Il raviva la braise et fit chauffer l'eau puis alla se rincer le visage, ses cheveux et son corps. Après avoir ramasser ses cheveux coupés au sol, jeter l'eau usagé dans un trou aménager derrière la bassine de bois pour évacuer les déchets hydrauliques, il s'assit sur le lit et fini d'élaborer son plan.

Il devait être aux environs de 15 heures lorsqu'Alice revint, chargés de vêtements neufs, ce qui surprit Zombie, et de chaussure montantes, similaires aux siennes. La richesse apparente d'Alice troublait de plus en plus Zombie, éberlué de voir que malgré que cette femme soit un monstre caché derrière un corps humain, puisse montré un geste de gentillesse, ou même d'attention à la garde robe de son otage. Chose encore plus surprenante, le fait que lorsqu'elle franchit le seuil de la porte, son sourire rayonnait, ses yeux pétillaient et sa démarche lorsqu'elle lui apporta les vêtements, semblait souple et enjouée.

-Voici. Il me parait qu'ils sont à ta taille. Ca sera mieux que tes haillons, elle le détailla à nouveau comme le matin même et continua, tu a pris la liberté de te couper les cheveux et nettoyer à ce que je vois... Hum, ce n'est pas si mal

Zombie, perplexe de cette humanité, de cette normalité que paraissait la situation ne répondit pas. Il regarda les vêtements apportés et reprit les choses en main:

- Il était inutile de m'offrir ça, cela ne me rendra pas ma liberté, ni même acheter mon approbation, comment pouvez vous acheter tant de choses dans les situations de vies dans lequel nous pouvons vivre?

Elle s'assit à coté de lui, le regarda dans le fond des yeux et lui dit:

- Les atouts d'une femme sont nombreux vois-tu... Certaines ne voient pas ou ne possèdent pas la faculté de pouvoir duper l'esprit masculin, pour ma part, je travaille aussi. La dépendance que j'ai pu avoir envers mon mari m'a amplement servi de leçon, il m'a éduquée en m'apprenant à lire et écrire, ne pouvant avoir d'enfants, j'aide bénévolement des enfants dans le besoin, comme tu l'étais toi-même jusqu'à hier soir et certains juges pour orphelins me donnent de l'argent.

Certes, elle n'était pas la femme la plus censé et saine d'esprit qu'il connaissait, mais s'était tout de même une preuve d'humanité. Il arrêta dès ce moment, de l'appeler intérieurement "monstre".

- Je vais me changer... déclara alors Zombie, changeant brusquement de sujet, ce qui ne perturba pas le moins du monde Alice

Il alla dans la salle où il s'était nettoyer et se changea. Ces nouveaux habits étaient réellement confortable et à sa taille, en plus d'êtres élégants. Il s'y plaisait mais sentait que ce n'était pas lui. Ça lui apparaissait comme un déguisement où il ne se reconnaissait pas, où il avait un nouveau visage, une nouvelle facette de lui où il jouait un nouveau rôle dans une scène de théâtre dramatique et tragique. Quitte alors à jouer un rôle, se scrutant dans le miroir, il décida qu'il avancerait d'avantages en profitant de cette situation et jouant son rôle à la perfection. Ayant prit sa décision, son regard devint assuré, et il retourna alors dans la salle principale en s'exclamant d'une voix nouvelle:

-C'est parfait !

Alice sourit. Elle aussi, jouait un rôle. Et elle devait le préparer à ses futurs plans. Pour cela, l'attention est le secret de la manipulation. Et pas seulement. Tout dépend de tout. Ou si vous préférez, certains facteurs sont indispensables pour atteindre son but.

- Je t'explique alors, commença t elle, ce soir nous allons nous rendre là où loge Annie et nous allons nous rapprocher d'elle sans que personne sans aperçoive il va s'en dire.. Elle a aussi des enfants, donc pour pouvoir m'être utile, tu va repéré les entrés et sorties possibles dans ce bâtiment et joué le rôle de mon fils.

- Bien...

Oui, dans ces cas là, nous ne pouvons nous interposé. Zombie devait savoir les intentions d'Alice avant de pouvoir agir. Dans ce cas là alors, il se faisait petit.

La journée passa lentement. Alice organisait tout ce qui était nécessaire pour la suite de l'histoire. Le soir arriva alors, Zombie sentit comme une brise fraiche annonçant sa liberté prochaine. Il lui restait que quelques heures avant de pouvoir sortir admirer les astres. Avant de devoir partir tout de même, ils mangèrent..

- J'espère que le monde ne te déçoit plus. Tes parents t'ont lâchement abandonné, aucunes personnes ne tient à toi.. Il n'y a que moi qui t'ai recueilli, lui dit Alice sur le ton de conversation, totalement décontracter

Zombie s'arrêta net de manger. Les yeux fixés sur Alice. Elle ne le connaissait guère, elle ignorait encore tout ce qu'il a pu ressentir, et elle l'ignorerait toujours. Cependant.. Il pensa. Baissant les yeux, scrutant ses pensées. Si, il y avait une personne à qui il tenait. Qu'il avait vu une fois, en l'aidant pour une course diverse, depuis s'était élancé une farandole de questions. A ces souvenirs, son cœur battait dans sa poitrine comme milles tambours devenus lourds et douloureux. Il ne la reverait sans doute jamais, ne lui parlerait ou ne la verrai jamais plus, ne saurait jamais ce qu'elle pense et même encore, l'avait-elle peut-être déjà oublié? A ses yeux, qui sait, était-il une personne tout ce qu'il y a de plus normal? Dans sa vie monotone de sentiments humains, il n'avait pas le gout de rire. Il se parlait fréquemment à soi-même et riait de ce qui le rendait heureux. Ce qui était drôle ne l'attrayant pas réellement, il se contentait de sourire. Il n'avait pas le cœur à rire. Plus depuis cette rencontre. Il supposa alors qu'elle l'eût oublié, lors de leur première et dernière discutions, elle lui annonça qu'elle était fiancée. A ces mots, il en eût le cœur retourné, il sourit mais ne sachant quoi dire, étouffa une exclamation qu'elle prit comme des félicitations ou un enthousiasme maladroit. Cette douleurs, savait-il, ne connaitrait jamais de fin, ni ne décroisserait. Pourtant, il tentait parfois de se changé les esprits en pensant aux cotés positif d'une existence solitaire et honnête. Malheureusement, la réalité le rattrapé vite. Il était trop fier et orgueilleux pour versé des larmes. Mais à certains moments, il se le permettait, tant la douleurs devenait insupportable. Alors, que pouvait il faire? A cet instant précis? Échanger sa vie contre un répit? Une douloureuse vie de servitude par faute d'avoir trop espéré? Oui. Il méritait que la souffrance dans un pareil cas, car il n'était pas assez bien pour celle qu'il chérissait.

- Je vous ai donné ma vie. Faites en ce que bon vous semble, désormais, je suis un homme mort, déclara-t-il en guise de point final

Il ne souhaitait plus en reparler. Ni même y songer. Quand bien même Alice essayerait de le libéré un jour, il ne le souhaiterait pas. Il voulait souffrir pour ce qu'il n'aurait jamais mais ne jamais l'admettre à qui que ce soit. Un secret mortuaire. Les larmes lui montèrent aux yeux. Les fermants et feignant d'avoir une poussière dans l'œil, il se les frotta. Personne ne saura jamais la profondeur de sa douleur, ni même sa cause. De façon totalement sadique et curieux, il pensa à l'idée de sa bien aimée, dans les bras de son amant, heureux. La faim fut coupé net par le rebondissement de son cœur et l'envie de vomir. Il se leva alors brutalement pour débarrassé son assiette plate, le dégout, la tristesse et seuls des souvenirs abritaient son esprit..

Avez vous déjà ressenti, l'impression qu'une seringue serait implantée dans votre peau et vous injectez une dose de souffrance à l'état pure? Qu'elle vous atteigne le cœur de pleins fouet? La douleur, si grande, qu'elle fait désormais parti de vous à jamais du moment où elle est entré en contact avec vos artères? Elle a fait de votre corps son logis, elle en connait chaque recoin et sait où appuyé pour vous faire mal. Seulement, la seringue serait alors des pensées, des souvenirs, des images. Vous voudriez ne jamais en avoir entendue parler. Or, ceci est trop tard. Vous n'avez jamais rien demandé à qui que ce soit, et voilà que ça vous attaque. Une bouffée d'air pour essayer de survivre, en vain. Alors, vous pensez que vous n'êtes qu'un moins que rien, vous ne méritez rien. Et pour cela, vous essayez de vous débarrassé de tout ce qui cause votre douleur, puis ce qui pourrait la rappeler. L'avant dernière étape, est de donner sa vie à une personne qui vous apprécierait, potentiellement parlant, afin de tout oublier. Mais, la seringue est déjà rentré et c'est bien trop tard. Vous essayez alors d'améliorer l'image de la personne qui vous apprécie, pour essayer de vous changé la tête, de convaincre votre cœur de changé, de faire comme si rien n'avait eu lieu. Sans succès. Il vous fait davantage souffrir d'essayer de le soudoyer en améliorant les éventuelles qualités que pourrait posséder une personne dont il se fou totalement. La personne possédant ce cœur défectueux est alors au bord de l'agonie. Il se voit ramper intérieurement au sol et ne sait que faire pour arrêter cela. Mais il ne peut plus rien faire. S'il essaie d'écarter une branche, son immense mensonge s'écroulera sur lui. Puis enfin, il réalise, après que son cœur ai fini de le faire souffrir, qu'il n'a rien réussi a faire changé. Les choses sont toujours les mêmes, si ce n'est pire car il réalise qu'il a beau tout faire, rien ne changera. Il aura beau essayer de tout bannir, ne plus rien idolâtrer ou du moins, tenter de ne plus aimer ce qu'il chérie, de le renier, la tentative restera inutile. Le silence devient rapidement alors votre seul réconfort, votre seule méthode de défense. Puis, le silence devient dur à tenir, mais l'on se doit tout de même tenir bon. Les questions s'y ajoutent. Enfin, le cycle recommence indéfiniment..

Alice aussi, comprenait cela. La douleur qu'un être cher nous trompe avec autrui pour prétexte qu'elle n'enfanterait jamais. Il y avait certainement eu plus que ça, or elle l'ignorera toujours. Mais au moins, elle a agis avant d'être dupée par d'éventuels mensonges. Zombie était aussi seul qu'elle au fond. Le malmené servait à lui montré qui dominait. Mais intérieurement, elle l'appréciait. Elle se montré justement dur avec lui pour qu'il soit plus fort, qu'il se relève et puisse à son tour peut être plus tard, si sa vie était sauve, ce qui restait improbable, être quelqu'un qui ne causerai jamais de tort. Elle fondait ses derniers espoirs en le genre humain sur lui. S'accrocher à une personne aussi rapidement, était-ce vraiment prudent? Elle ne le saurait qu'avec le temps, de toute manière, la mort nous emportent tous un jour ou l'autre.

- Allons-y, murmura Alice en pressant sa main sur l'épaule de son jeune otage

Il s'élança dans la nuit, rebroussant le chemin jusqu'au même quartier que la veille en suivant prudemment les pas d'Alice. L'air était assez frais pour une fin de mois d'Aout. Il appréciait le vent sur son visage, avoir ce soir, une raison d'être, même si elle fut néfaste et pas de son pleins gré, mais il suffit toutefois. Le quartier était encore surveillé par des gendarmes et autres gardiens de la paix, analysant attentivement les indices qu'ils auraient pu oublier d'inspecté et essayant de reconstituer les conditions de la scène du crime. Pour ce qu'il pu en voir, Zombie pensa qu'ils étaient à coté de la raison. La curiosité rattrapa alors notre jeune héro:

- Comment allez vous faire pour ne pas vous faire suspecté? Chuchota-t-il

- Silence ! Il y a trop de monde ici pour que je t'en dise mot ! Siffla-t-elle sans même prendre la peine de se retourné vers lui

Un grand immeuble surplombait la rue Hanbury Street portant le numéro 29. Il devait être minuit passé. Alice avait expliquer qu'une petite réception allait être donné lieu ici, pour l'anniversaire de son fils invalide qui fêtait ses 8 ans. Rappelons que l'action se passe une soirée après le meurtre de la jeune Nichols; ainsi nous sommes le 1 er Septembre 1888. Alice, pendant l'après-midi, avait pris soin de lui expliqué qu'étant donné qu'il était plus âgé que les supposés rejetons d'Annie, il devrait en tiré une grande influence afin de se faire ré-invité par la suite et se tenir tranquille afin de n'amener aucuns soupçons sur eux. Ils rentrèrent alors dans le bâtiment. Une cour intérieurs donnait sur un banc aménagé devant des plantes, le soleil aurait pu être visible de là où ils se trouvaient si seulement l'heure aurait été convenable. Le bâtiment possédait 4 étages visible. Zombie se devait de faire attention aux moindres détails. Ils montèrent d'un étage, là où la fête était donné. Ils ne furent pas surpris le moins du monde que personne ne leur interdise l'accès à cette soirée d'anniversaire. Des personnes surtout d'age très avancés étaient regroupés et semblaient enthousiastes autour d'un petit garçonnet encore frêle. Ses yeux bleus et ses cheveux bouclés blondes faisaient ressortir son visage pâle. Zombie présuma qu'il fut le fils d'Annie. Les deux autres enfants n'étaient pas encore visibles, mais le temps n'était pas pressé. Alice, avait revêtu une splendide robe bordeaux orné d'un sac à main d'un rouge tirant sur le sang; un parfait accord avec sa nature excessivement violente et farouche. Elle fut sans nul doute la femme la plus resplendissante de la soirée.

Alice fit le tour de la baraque, comme Zombie le savait, afin de pouvoir repéré les lieux. Une fois sa ronde fini, elle commença a discuté avec une femme d'importante corpulence. Son nez aquilin faisait ressortir son visage ridé et taillé en pointe, ses joues n'étaient que graisses flasques et moles au contact d'une surface. Elle était brune, ses cheveux attachés en un chignon très serrer sur le sommet de son crâne, dévoilant des oreilles minuscules et plaqués sur le coté. Ses lèvres étaient également dans le même registre d'horreur que le reste; un W était dessiné par ses lèvres supérieurs en un rictus de supériorité, ses lèvres inférieurs faisaient pensé au bec d'un volatile qui est relié à sa partie supérieur. Seul ses yeux d'un bleu azuré pouvaient révéler l'identité de cette femme hideuse... Elle était bel et bien DarkAnnie, la mère du rejeton blond. Mais Alice ne sembla pas se soucier de l'ingrate apparence que possédait sa rivale, elle semblait captivé par leur discutions, bien que ce fusse qu'un rôle.

A ce moment là... Le cœur de Zombie fit un double rebond à l'intérieur de lui, là où devrait se situer son cœur, or, sur le moment il se trouvait en état de souffrance absolue. La jeune fille dont il était épris, Rosaline, se trouvait quelques mètres plus loin, son bras accompagner de son supposé fiancé. Les larmes lui montèrent d'un seul coup aux yeux, comme une montée d'adrénaline violente. Il vivait la situation dans laquelle il n'aurait jamais voulu se retrouver. Observer le bonheur de la personne qu'il aimait et qui ne voyait pas sa détresse. L'air lui manqua, il étouffait. Tout ce monde, autour, de plus en plus opaque, bruyant, festif... Il se retourna et se pencha par la fenêtre. Il regardait le vide au dessous de lui, les larmes ne cessaient de couler, son coeur ne supportait plus cette douleurs atroce, impitoyable; Intolérable. Il n'avait qu'une seule envie: sauter dans le vide. Sa vie appartenait à Alice, malheureusement jamais, jamais il ne pourrait revoir ou pouvoir envisager un quelconque geste de la part de Rosaline. Il mis pied sur le rebord de la fenêtre.

- Tu ne me seras nullement utile dans la mort ! lui dit une voix qui l'attrapa par l'épaule en le ramenant violement en arrière

Alice, ses yeux pétillants de malice l'avait rattrapé. Sauver ou bien condamner? Elle lui sourie et lui demanda la raison de cette soudaine envie suicidaire:

- Tu ne pourrais comprendre, tu a vendu ton âme au diable, elle est souillée d'orgueuil et de volonté de vengeance, ton coeur est certaine dans un des caniveaux d'où tu a jeté le corps de tes victimes !

- Ne pense tu pas que j'ai déjà ressenti le sentiment de souffrance d'une déception amoureuse? Or la vie continue... rétorqua-t-elle apparement vexé d'un tel affront à l'encontre de son éventuel humanité

- Non ! Et ce n'est pas une simple déception amoureuse, c'est tellement davantage ! Je donnerai ma vie pour elle, je me vendrai corps et âme pour pouvoir être a ses cotés, s'emporta Zombie, au bord de la folie

- Calme donc tes ardeurs Roméo, on ne te demande pas tant, elle t'a sans doute déjà oublié, de plus que tu dois encore repéré qui sont les autres enfants d'Annie et t'en approcher, lui rappela-t-elle avec un clin d'œil

Il parti en bousculant l'épaule d'Alice. S'était peu courtois, mais il n'y avait de gestes ou de mots pour exprimé ce qu'il ressentait, à la fois pour Alice, la rage dans lequel elle l'avait mis, et pour Rosaline... Les larmes étaient restés mais n'étaient guère visible maintenant. Il allait se servir de cette rage, de cette détresse pour se sortir de cette galère. Il se le devait.

Il retourna à la salle de réception, la tête haute et épaules droites. Il regarda autour de lui. Alice en avait profité pour réengagé la discutions avec Annie.

- Excusez moi je vous prie ! Lança une voix

Une jeune fille l'avait percuté de plein fouet. Elle se serait sans doute écroulé si Zombie n'avait pas eu le reflexe de la rattrapé par la taille. Ses cheveux blond retombant en arrière, ses yeux fixés sur lui. Elle semblait essoufflé.

- Aller viens ! Cria une autre jeune fille

La première la regarda et lui intima d'attendre un instant. Elle se remis sur ses pieds, lissa sa longue robe. Elle était à peine plus jeune que Zombie. Ses yeux cobalts fixés le sol. Annie, qui n'avait apparement pas raté la scène, vint à grands pas vers eux l'air outragé et gronda la jeune fille:

- Votre conduite est inexcusable Kathline Chapman ! Avez vous présentez vos excuses à ce jeune homme?

- Oui, oui elle l'a fait ! Coupa net Zombie, ce n'est rien

- Très chère Annie, je vous présente mon fils unique et homme de la maison, Zombie, reprit Alice en forçant un sourire pour simple présentation et bonne intention

Annie rétorqua une formule de politesse et retourna discuté avec ses invités, suivit de près par Alice. On aurait pu l'apparenté a un oiseau de proie ayant repéré sa cible et ne voulant pas la quitté jusqu'à sa prochaine mort. Kathline, encore rouge d'émotion, resta plantée là, fixant le sol.

- Allez Kath, viens ! implora une fillette d'apparence dynamique

- Veuillez me pardonnez cette conduite inadmissible, je dois malheureusement aller m'occuper de ma sœur cadette, au plaisir de vous revoir un jour prochain, murmura-t-elle en le regardant avant de s'en aller en courant

Il la regarda partir. Mission accomplie, il avait rencontré les filles d'Annie et repéré qui était son fils. Les entrés et sorties ne se faisaient que par un moyen: une seule porte séparait les pièces les unes des autres. Que pouvait il bien faire maintenant qu'il n'avait présentement plus aucunes tâches à accomplir? Rien.. Ce monde qui l'entourait, Rosaline... Tout le monde semblait si bien, à leur place. Contrairement à lui, lui frêle de sentiments, d'envies... D'un seul coup, la tête commença a lui tourner, la chaleur augmenta. Non pas qu'en une fraction de seconde la chaleur de la nuit avait augmenté, mais sa propre chaleur corporel lié à un mal être dans ce genre de situation et lié à ce rapide aperçu plus tôt de Rosie (nom abrégé) lui procura un sentiment inexplicable. Il s'écroula au sol, suffoquant, secoué de tremblements. La situation sembla tourner au drame, tout le monde s'était approcher de lui, horrifié de cette vision dramatique. Alice fut la première qui arriva à ses cotés, son visage, malgré son caractère fou, trahissait un sentiment d'inquiétude. La tête de Zombie se faisait de plus en plus lourde, sa vision se troubla par une brume épaisse et blanchâtre voilant sa vue, son ouïe ne semblait plus aussi développer qu'auparavant. Il sombrait petit à petit... Il eût juste le temps d'entendre Alice injurier et ordonner a quelqu'un d'appeler de l'aide tout en lui tenant la main. Elle été glacée. Puis, plus rien... Le noir l'engouffra dans ses abimes les plus sombres.

Ce fut encore un rêve tourmentant. Zombie tendait la main, au bord de la mort, il sentait chaque blessure causé par l'amour. Rosie, quelques centimètre plus loin, s'éloignant sans le regarder. Puis, elle se retourna brusquement, lui jetant un regard impitoyable, chargé de mépris et elle continua d'avancer jusqu'à son fiancé. Malgré que ça ne soit qu'un rêve, Zombie sentit une cascade sanglante éclaté dans sa poitrine. Il criait, criait qu'il était désolé, supplier de revenir, lui criant qu'il l'aimait. Elle ne l'entendait plus, elle était déjà bien trop loin de lui.

- Sais tu que tu miaule en dormant? Lui renseigna une voix familière

- Je miaulais réellement, ou étais ce des supplications envelopper dans les bras de Morphée que tu feignais d'ignorer le sens? demanda Zombie, sceptique et épuisé de ces actions sans arrêts

- Tu miaulais comme un chat, peu importe, te sens tu mieux?

Elle semblait s'être vraiment inquiété. Son visage était marqué par des cernes violacés et larges. Son sourire, habituellement rayonnant été terne et fatigué. Elle devait l'avoir veiller pendant des heures durant.

Je commence désormais à m'attacher sentimentalement au personnage d'Alice, aussi intéressant soit-il, elle reste marqué d'une aura de mystère et de complexité à part entière. Dommage que je ne puisse en apprécier la saveur exquise d'une découverte grandiose pour mon égo. Ma peine, ma propre douleur que je partage me déchire en milles éclats de verre. Le stress, la peur et la souffrance m'habite depuis certains moments. La cause? Je ne fait jamais rien au hasard, encore moins en ce qui concerne mes textes. Ceci, reste un unique texte et les raisons y sont enfouis. Parfois, il est nécessaire de ce dire que rien n'est impossible. Oui, rien ne l'est. Ni la Alice capable de mutiler ses rivales, ni la Alice capable de pouvoir ressentir de l'affection pour un jeune garçon plus jeune qu'elle et le recueillir. J'ai si mal... La douleur m'accable, je suffoque. Mon cœur ne supporte plus rien... Mais, tout comme Zombie, je me dois de continuer ce combat, de continuer ce que je fais, pour moi, même si les actions que l'on fait peuvent résonner indéfiniment dans le vide sans trouver un écho en guise de réponse.

Zombie se redressa tout doucement sur l'édredon d'un blanc angélique, baigné de la lumière du soleil. Cette chaleur le tuerai un jour, pensa t il.

Il se leva, tout en titubant encore à cause de la fatigue et sa santé encore resté précaire et alla se désaltéré. Alice, assise en face de la cheminée posa une assiette de nourriture sur la table.

- Je ne pensait pas que tu resterais assoupi autant de temps ! Déclara-t-elle à son intention

- Combien de temps ai-je dormi?

- 4 Jours. Nuits et jours. Nous sommes le 5 eme jour du mois de septembre. Je me demande bien ce qu'il a pu t'arriver, le médecin prétend que tu a bu trop d'alcool et que tu n'a pas su supporté le coup, je ne le crois pas

- Vous avez bien raison. Je n'est bu aucune goutte de liqueur, la chaleur de la pièce m'a envahis soudainement et faute d'air j'ai suffoqué il me semble, expliqua-t-il en essayant de se rappeler exactement des détails, sans succès il commença a mangé ce qu'Alice lui avait préparer, puis une question, en réalité deux, lui vint à l'esprit:

- M'avez vous veiller à chaque nuit? Si non, où dormez vous? Comme le soir où vous m'avez emmener de force jusqu'ici?

Alice sourit. Il avait touché un point sensible, il commençait à être curieux. Elle appréciait ce défaut qui paraissait plus comme un avantage à une personne.

- Oui, je t'ai veillé chaque jours, chaque nuits à chaque minutes, d'un air faux elle poursuivit, qui sait ce que tu aurais pu raconté sur moi dans tes cauchemars agités. La nuit où je t'ai recueilli, je suis aller me renseigner sur cette Annie qui est aussi intéressante qu'une cruche d'argile

Zombie continua de manger. Imperturbable.

- Et il semble que la jeune Kathline ai envie de nous revoir, enfin "nous" semble trop optimiste... Qu'elle ai envie de te revoir, rectifia Alice, donc je serais ton accompagnatrice

- Jusqu'à quand durera cette mascarade? Ne pourriez vous pas me tuer sur le champ? Supplia Zombie à l'agonie

- Non pas que tes envies suicidaires commencent à m'agacer, mais c'est présentement le cas alors je te prierai d'arrêter, je ne me serais jamais douté de tombé sur un jeune homme tel que toi qui ai envie de mourir si tôt je n'ai désormais pas de moyen de pression sur toi omis le fait de resté en vie plus longtemps, elle semblait agacé de cette situation, la pensée qui tendait vers l'idée qu'elle été sans doute maudite, pour tombé sur une personne dont la volonté de vivre l'a quittée si tôt...

Lecteurs, mon cœur m'arrache. Je n'arrive plus à tendre le bras vers le clavier pour écrire. Je me force tout de même, mais il semble se déchainer. Un poignard semble s'y être planté, que le cœur semble s'être dilaté afin d'en épuisé toute l'élasticité, qu'il se cogne contre chaque parois de la cage thoracique en essayant de s'aplatir comme contre un mur de béton armé. Ce que voudrait Zombie était le répit, le repos éternel, la mort. Ce que je voudrais, ça serait la mort de mon cœur, qu'il s'en aille, mais oui alors dans ce cas nous serions que machine ? La pire sensation qu'il puisse exister... Punition éternel; Vivre pour vivre, faire pour faire mais sans buts au final. Je ne mériterai que cela. Parait il que les écrivains maudits, sont exclus et rejeté de la société? Leurs valeur parfois rejetés avant de voir que finalement, elles auraient du être reconnu plus tôt, disons avant leur mort. La vie d'un écrivain, comme le qualifierai l'auteur de la nouvelle " L'homme à la cervelle d'Or", nul autre que Alphonse Daudet, soit 19 années avant notre présente histoire, définie la vie d'un écrivain comme "un sacrifice" et vie de souffrances pour les partagés. Je suis en adhésion avec cet esprit. Pourtant, je n'arrive plus à me confier, la raison? Je ne sais réellement ce que je voudrai. Arrêter de souffrir et abandonner certains buts? Ou bien continuer et essayer en me battant de toutes mes forces? Là encore, la réponse me viendra au fur et à mesure du texte, comme beaucoup d'autres.

Le reste n'a aucune autre importance dans cette histoire. Ni les histoires pendant trois jours de Zombie et d'Alice. Seul le 8 ème compte. Le huitième jour de septembre, Alice et Zombie furent invité chez les Chapman, le matin même. Les agents de police et autres gardiens de paix furent rappelés pour essayer de trouver d'autres indices plus loin dans les rues environnantes. La rue était tranquille. Alice et Zombie sortirent ainsi, jusqu'au batiment 29 de la rue Hanbury Street. Une fois entré, ils montèrent.

Alice avait préparer le plan du début à la fin. Zombie lui, n'aurait qu'à attendre le bon moment. Pour elle bien entendu. Il était pas question, dans le plan d'Alice de tué les enfants ni le mari, seul la femme devait payer. Alice avait vraiment un point d'honneur qu'on devait lui accorder; son amour envers les innoncents. Elle ne pouvait posé la main sur un bébé ou un enfant qui n'avait rien fait.Or, le problème était la difficulté de l'approche qu'elle comptait effectuer. Elle voulait isoler la mère loin des enfants et de son époux; John Chapman, pour pouvoir arriver à ses fins. Elle n'eut aucunement besoin de tout cela. John avait emmener Kathline, Lionel et Isabel au musée de bonne heure. Ils ne s'attendaient pas à une surprise de taille...

- Bien le bonjour, Alice Ravenhearst, n'est ce pas? dit Annie, le sourire aux lèvres

Alice était apparement découverte depuis le début. Le visage d'Alice fut marqué un court instant par la surprise, puis sourie de même. Mais comment Annie le savait-elle ? Il n'y eu aucun besoin de le demander qu'Annie enchaina:

- Lorsque je parlais à John, il a été sot de me donner son nom de famille. Or, il me parlait parfois de sa femme nommé Alice qui ressemblait de trop avec la description qu'il en faisait et celle que j'ai rencontré à la soirée d'anniversaire d'il y a une semaine, j'en déduis donc que vous venez donc pour cela?

- Effectivement, j'en déduis alors que ce n'est point une coïncidence si vous avez éloigner votre mari et enfants au moment où nous étions supposé vous rendre visite?

Annie continua de sourire et sorti un couteau aiguisé de son corsage. Dieu seul sait comment ? Elle s'approcha vivement d'Alice en visant sa gorge. Alice, réagi rapidement, elle feinta au sol tout en entrainant avec elle Zombie qu'elle jeta sur le coté droit de la pièce afin d'être épargné par la suite. Elle se releva et lui lança un coup de pied dans le ventre. Annie suffoqua, ralentit par la lourdeur de sa robe et autres attribue féminins encombrants. Elle tenta de courir jusqu'à l'extérieurs de la maison.

Alice se retourna vers Zombie en lui criant:

-Sors et cours jusqu'à la maison, je t'y rejoindrais, si je ne reviens pas d'ici ce soir, enfuis toi !

-Cela veut dire que vous me rendriez la liberté? demanda Zombie, présentement inquiet

Alice soutint son regard quelques secondes. Assez pour lui insufflé la réponse. Elle mis un voile sur son visage et couru chercher Annie.

Zombie ne perdit aucune seconde. Il couru comme si sa vie en dépendait, or s'était le cas. Annie, s'était arrêter dans la cours intérieurs du bâtiment, au rez-de-chaussé, faute de respiration. Elle se tenait l'abdomen et tentait de respiré en s'appuyant sur un poteau de bois encadrant le jardin bercé par la lumière du soleil. Alice ne fit aucun bruit à ce moment. Annie n'avait pas regarder en arrière, elle titubait, essayant de marcher jusqu'à la sortie, en vain. La veste longue d'Alice trahis cependant sa présence.

Alice, le couteau en main, le chapeau et le voile recouvrant son visage omis les yeux s'approcha d'Annie. Ses yeux découvraient sa haine. Son aura devenait de plus en plus sombre et dangereuse. Comme un lion chassant une proie faible et inoffensive. Annie plongea au sol, malgré sa lenteur, elle réussi à atteindre la jambe gauche d'Alice qui ne s'y attendait pas. Alice réagi tout de même, malgré la violence de la douleur qui commençait à se diffusé dans toute sa jambe.

-Non ! cria Annie

Ce fut sans doute la seule parole qu'elle eut le temps de dire avant que le couteau d'Alice s'enfonce dans sa gorge, la lame était visible derrière elle. La tenant par les cheveux violemment, elle retira le couteau et sa tête n'était relié à sa gorge désormais que par quelques rares filament de veines et sans doute la trachée endommagé. Son corps fit un bruit sourd en tombant au sol. Alice commença alors sa mutilation. Son plaisir de s'acharner sur ses victimes et leur faire subir ce qu'elle avait elle-même enduré lorsque les médecins lui ont ouvert le ventre pour en observer ce qui clocher. Mettant les intestins sur le coté droit de l'épaule de sa victime pour ne pas y toucher et être dérangé par des organes n'ayant aucuns rapport avec ce qu'elle chercher, elle découpa avidement l'utérus, le vagin et la vessie. Dans un geste de violence accrue, elle eu un échec. Le couteau ayant suivi l'énervement d'Alice, avait perforé aux deux tiers la vessie de la victime, ratant son prélèvement. Dans ces moments là, Alice ne souhaitait plus que Zombie ne l'observe. Elle se trouvait alors dans un moment de folie furieuse qui la poussait à vouloir toujours et encore plus de sang. Ses yeux grossir de diamètre, elle se mordait les lèvres d'envies et d'enjouement. Malheureusement, le temps n'était pas infini. Elle se devait de faire vite, avant que quelqu'un ne la surprenne, or Annie avait crié avant sa mort, peut-être qu'un voisin l'avait entendu. Ayant récolté ses trophées, elle les rangea rapidement dans sa poche intérieurs et déposa des pièces de monnaie ainsi qu'une lettre portant la date du "28 Aout" au pieds de la défunte.

La raison? Des pièces pour le métier improbable qu'elle exerçait la nuit. La lettre? Un faux indice pouvant mener les enquêteurs sur une trace à l'opposé de la bonne. Une fausse piste. Pendant qu'ils s'efforceraient de chercher sa signification, elle aurait le temps d'élaborer un nouveau plan pour la suivante.

Zombie était arrivé sain et sauf à la baraque. Il attendait depuis 10 minutes déjà, qui lui semblèrent une éternité. Une éternité de doutes où son inquiétude grandissait à chaque seconde. Sa respiration commençait à se calmer, son pouls menaçait de faire exploser sa poitrine. Sa gorge était sèche, il haletait. Mais au moins, il vivait. Est ce qu'Alice rentrerait? Lui accorderait-elle la liberté? Il y songea... Au final, il s'en fichait. Peu lui importait de pouvoir retourner à sa précédente vie. Depuis qu'il la connaissait, sa vie avait changé. Elle lui apportait soutient moral, il l'aidait à réaliser son but car lui n'en avait aucuns, il avait un toit où dormir et avait appris à se tenir et à la connaitre. Aussi étrange que cela puisse paraitre, il s'était accroché à elle. Alors non, il ne voudrait pas sa liberté, car elle rimait avec aucun but, aucune envie. Alors qu'aux cotés d'Alice, sa nouvelle liberté résonnait à l'annonce de son nom comme une symphonie ballante et nouvelle.

La porte s'ouvrit à la volée. Alice, entièrement recouverte rentra et ferma la porte derrière elle. Elle était aussi essoufflé qu'il l'avait été quelques secondes plus tôt. Depuis quelques jours, elle avait essayer d'améliorer le confort de Zombie dans cette maison. Elle avait ajouté aussi un lit où elle pourrait dormir, lui avait pris quelques affaires et elle tentait de lui apprendre la lecture.

Elle s'assit alors sur la chaise et respira à grandes bouffées. Zombie l'observa et remarqua que sa jambe saignait.

- Alice... Ta jambe..? Qu'est il arrivé?

- Cette truie n'a pas raté son coup... Ne t'en inquiète pas, je vais me rétablir d'ici peu... Souffla-t-elle entre deux bouffées d'air

Son visage été crispé à cause de la blessure. Elle ne pouvait cependant pas se permettre d'aller voir un médecin. Elle arracha un pan de sa chemise et essaya de faire cesser hémorragie. Elle se mis sur ses pieds, puis tomba à terre, sur ses mains. Zombie se baissa et l'aida à se relever en la prenant par le bras, l'aidant à se hisser jusqu'au lit. Il tira le rideau troué afin qu'elle ne puisse être vue de l'extèrieur. Elle s'allongea et lui dit:

-Si cette histoire venait à tourner mal, je te laisse la vie. Tu pourra la reprendre et je ne te poursuivrais pas, elle le regardait avec un air attendrissant, ses yeux brillaient

- Je resterai... A conditions de me dire ce qu'il est arrivé à votre mari?

Zombie s'assit sur un tabouret qu'il avait rapproché du lit afin d'écouté l'histoire d'Alice. Bien qu'elle soit une meurtrière sanguinaire, qu'elle lui fasse quelques fois peur lorsqu'elle se met en colère, comme la dernière fois qu'elle eut essayer de lui apprendre à lire, il l'appréciait beaucoup.

<< Accoudé à la table, Zombie observait le livre que lui avait acheté Alice. Ces symboles étaient totalement incompréhensibles. Comment des personnes saines d'esprits pouvaient réussir à décoder ces hiéroglyphes? Elle lui avait pourtant assuré que s'était facile et qu'il fallait juste de la volonté et une ouverture d'esprit des plus simple. Le livre était intitulé : "The Prelude" par William Wordsworth mais cela, Zombie n'avait pu le savoir sans l'aide D'Alice. Elle lui expliqua que s'était un auteur anglophone né en 1770, mort le 23 avril tout comme Shakespeare, mais en 1850, il y a peu d'années. Alice était assise juste à coté de lui pencher sur le livre.

Au bout d'environs trois heures de travailles acharnés, Zombie sut l'alphabet et les trois premiers vers du Tome I de Wordsworth.

"Oh ! c’est pour me bénir que cette douce brise
Souffle depuis les étendues vertes, les nuages
Et depuis le ciel ; elle fouette ma joue"

Alice s'acharnait à vouloir lui faire "traduire" la suivante. Or, lorsque Zombie se trompa pour la énième fois, et s'était cas de le dire, elle rentra dans une colère folle, sa patience avait été mise à rude épreuve et trouvait maintenant une limite :

-Bon sang ce n'est pas dur de comprendre ce qui est écrit! Si tu la rate au prochain essaie, je découpe tes entrailles et les faits bouillir pour m'en faire un ragout ! >>

Ce fut la seule fois où Alice avait été en colère contre lui. Bien qu'elle n'eu rien fait et qu'elle ne le pensait guère, sa force de caractère l'avait emporté et depuis, il donnait le meilleur de lui même afin de la contenter.

- Mon mari est mort il y a un an. Après que j'ai appris sa, ou plutôt ses liaisons avec ces putains, je suis entré dans une rage folle et l'ai balancer par la fenêtre. Après cela, j'ai prétexter que s'était un suicide, que je ne me trouvais pas dans l'immeuble à ce moment là. J'ai fuis par l'escalier de derrière. Depuis, malgré que je m'en veux, je souhaite pas l'avoir tué et les laissés s'en tirer à s'y bon compte, il serait mort en vain. Pendant un an, j'ai espionner ces femmes, fouiller les affaires de mon mari et pu voir qui il avait fréquenter, à quel intervalle.

- Je vois... A quoi cela vous emmena-t-il de les tués?

- Accidentellement, j'ai tué mon époux... S'il aurait continuer de vivre, je n'en aurait rien fait. Or, ce n'est pas le cas. Je veux leur faire payer la vie qu'elles m'ont pris.

Alice se retourna alors, écrasé de remords. Elle avait fini de lui raconté. Maintenant elle allait s'assoupir pour récupéré ses forces après cette cavalcade. Zombie lui, allait prendre le livre et réviser un peu...

Le repos d'Alice dura 3 jours. Trois longs et pénibles jours durant lesquels Zombie eut le temps de lire d'une traite le premier tome de poèmes de Wordsworth. Elle avait eu raison de lui acheter ce livre. William Wordsworth était un poète précurseur du romantisme, doué d'une sensibilité des plus rares et une connaissance de la nature humaine des plus incroyables. Une de ses plus célèbres citations se trouve être:

<< Poetry is the breath and finer spirit of all knowledge […] It is as immortal as the heart of man >>

Dans notre language, elle est traduite comme étant: "La poésie est le souffle et l'esprit le plus noble de tout savoir (...) Elle est immortel comme l'est le cœur humain "

Zombie s'occupa aussi d'Alice dans son repos. Lui replaçant parfois la couverture sur elle lorsqu'elle la faisait accidentellement tombé au sol. Il tamponner son front d'eau froide lorsque sa température corporelle augmentait et qu'il voyait qu'elle commençait à transpirer. Parfois même, elle s'éveillait soudainement et réclamait de l'eau, une fois fini elle retombait sur l'oreiller et continuait de se rétablir. Zombie fut en total autonomie; Il préparait la nourriture lui même, malgré que le premier jour il eut failli s'étouffer de ce qu'il cuisina. Le goût de sa nourriture eu l'air d'être rassis depuis quelques jours alors qu'avant qu'il les touches, ils avaient l'air parfaitement comestible. Point d'honneur à Zombie à ajouter; ce fut la première fois qu'il cuisinait un repas chaud.

Lorsque Alice s'éveilla pour la première depuis trois jours, le cœur de Zombie se serra. Il eut en premier lieu peur qu'elle se ré-endorme encore ou bien qu'elle ne se sente pas bien. Son inquiétude le surprenait parfois lui même. Il se demandait à quel moment précis il s'était autant attaché à elle et quel moyen avait elle usé pour arrivé à ce but. Aussi, ce fut la seule qui était la pour le recueillir, qui le voyait comme un humain, tel qu'il était, il n'avait pas besoin de faire semblant d'être quelqu'un d'autre. De sourire à certains moments, comme il le faisait habituellement... Elle l'appréciait pour ce qu'il était, du moins c'est ce qu'elle laisser paraitre.

Elle ne le connaissait que depuis peu, or il semblait qu'elle le connaissait depuis toujours. Plus tard, nous le saurons, tout le monde aimera Zombie pour ce qu'il était, ou n'était pas. Les personnes qui l'entourait se fier à son apparence, aussi avantageuse soit-elle. Il ne pouvait avoir une réelle relation qui pourrait aboutir à quelque chose de sérieux, ou bien parfois, voir le plus souvent, il se lasser de ces personnes, aussi vide et insignifiante étaient elles... Avec Alice, et une aventure qui dura quand même pas mal de temps, il semblait déjà connaitre tous les scénarios possible et était las de tout cela. De répété sans cesse les mêmes choses, de les faire, ... Il n'y avait plus aucun amusement possible. Il cherchait la personne qui changerait peut-être tout cela, si elle existait en ce bas monde. Peut-être l'avait il rencontré, auquel cas, il pensait de temps en temps à Rosaline et semblait ensuite partir dans une folie qui l'entrainait à faire certaines choses qu'il n'aurait jamais souhaité, mais par pur sadisme, il tentait de l'oublier par divers moyens mais sans succès.

Alice ouvrit les yeux. Les rayons de soleils filtraient à travers le rideau usé et troué, se penchant sur le visage angélique d'Alice. Ses yeux noir semblaient s'être éclaircie de bonté et de bienveillance. Sans doute, Zombie en fut la cause. Il éclairait la vie d'Alice comme elle éclairait la sienne. Ses cheveux rassemblés sur son épaule, tombant en une cascade brune semblaient doté d'une douceur incroyable. Elle semblait rayonner malgré sa faiblesse. Elle sourie tout de même en lui murmurant:

- Ne me dit pas que tu t'es inquiété pour moi ?

- Bien sûr que non ! Rétorqua Zombie sur un ton outragé

- Tu n'a pas pris la peine de t'enfuir pourtant, tu n'aurai eu aucun mal à partir alors que je dormais et tu n'aurais pas pris soin de m'hydrater lorsque je le demandai ...

- S'était juste que vous avez fait la même chose pour moi, je vous le rendait. Je vous ai dit que je ne partirai pas à condition de me raconté votre histoire, c'est chose faite ! Rien de plus, lui dit il comme échappatoire, il ne souhaitait lui montré l'inquiétude qu'il avait ressenti pendant son absence

Ils savaient tout deux la vérité mais ne souhaitait l'avouer. Alice se redressa sur le lit, toujours recouverte. Zombie prit le livre et pour la surprendre, le lut entièrement. Alice l'écouta calmement sans prononcé mots et juste à la fin, le félicita, sans lui montré de surprise:

- Finalement, tu a réussi. Tu a été fort impolie, tu a omis de me dire quelle date nous sommes?

- Le onzièmes jours.

L'expression d'Alice changea radicalement, elle semblait sous le choc. Elle enleva d'un seul coup la couverture qui la recouvrait et enleva le bandage qu'elle avait sur la jambe. La plaie s'était refermé. Non... Elle ne s'était pas refermé, pas d'elle même. L'observant plus attentivement, elle remarqua des fils reliant sa peau entre elles. La plaie avait été aussi nettoyer avec soin, plus de sang n'était visible, juste un trait fin marquant l'endroit où elle fut initialement taillader. Elle siffla et se tourna vers Zombie:

- Je te dois une fière chandelle ! Amène moi à manger ensuite nous irons nous dégourdir les jambes, j'en ai grandement besoin !

Zombie fut surpris à son tour. Il ne s'attendait pas à ce qu'Alice lui permit de sortir à nouveau dehors. Pendant trois jours, il avait cru devenir fou. Il n'arrivait plus à penser, il ne savait plus que faire à part prêté attention à la santé d'Alice ou lire et relire ce même ouvrage. Après avoir recouvert ses esprits, il lui amena une assiette:

- Je crois que j'ai une nouvelle tâche à t'inculquer mon jeune ami ! La cuisine, ce que tu a fais est fort peu ragoutant ! Commenta-t-elle avec un sourire léger

Il lui rendit son sourire et lui amena des affaires propres afin qu'elle se change. Sa vie allait enfin reprendre son cours normal. Enfin, si normalité il y avait bien entendu.

La lumière semblait l'attaquer. Ou plutôt, c'est ce qu'il crût au début, puis il compris que la chaleur d'été commençait à s'en aller, le vent soufflé péniblement à quelques intervalles réguliers qui permettait de ne pas mourir de chaud. Les personnes qu'ils croisaient le regarder puis le saluèrent, Zombie n'étant pas habituer regarda Alice pour savoir si ce n'était une farce. Elle était souriante, malgré ce fait, elle conservait toujours son air qui témoignait son double rôle omniprésent qui lui demandait énormément d'attention visuel, auditive et de concentration. Elle leur rendit leur salutations et poursuivit sa route avec Zombie à ses cotés.Arriver devant un marchand de veggies et fruits, elles en choisi quelques un et les acheta. Ils continuèrent alors leur route, puis soudain... Zombie s'extasia devant une vieille boutique sombre et d'aspect vieilli. Cette boutique était apparemment vide, personne n'y rentrait, ni n'en sortait. Alice continuait de marcher quand elle remarqua l'absence de la présence de Zombie, elle se retourna et suivit son regard:

- Veut tu y rentré?

- Je... Je ne veux pas vous ralentir... lui avoua-t-il timidement

Elle s'approcha de lui, se pencha et souleva son menton avec ses longs doigts fins en le regardant dans les yeux, elle était sûr d'elle:

- Si tu es en émoi devant une librairie, attend voir d'y entrer dans ce cas... Tu n'est peut-être pas aussi illettré que ce que tu n'oser me montré !

Elle le prit par l'épaule et le poussa à l'intérieur de la boutique. Elle possédait un grand espace si elle ne renfermait pas autant de livres, tous entassés les uns sur les autres; Tantôt dans des bibliothèques murales, sur les étagères la pile de livres semblaient la faire plier, sur les tables encombrés de documents en tout genre. Le propriétaire n'était pas encore là, sans doute au sous-sol. Zombie tourna sur lui même plusieurs fois avant de réaliser où il se trouvait, puis essayer de se contrôler.Il y avait peu de lumière qui rentrait par dehors, à travers les faisceaux de lumières, on pouvait y observer des atomes de poussières voletant dans l'air. L'oxygène s'y faisait plus rare, des bougies éteintes et consumés étaient posés sur des socles de verre ci et là.

- Si tu le souhaite, je t'offre un livre que tu aura choisi, maintenant que tu sais à peu près lire convenablement, proposa Alice en sortant Zombie de sa rêverie

- Merci... lui dit

Il la remerciait du fond du cœur. Pour tout ce qu'elle faisait. Il n'était pas son fils, mais elle le traitait de la même manière.

Le sommeil m'étreint. mes pensées tournent, les mots ont du mal à s'étaler d'eux même sur le clavier. Faute de temps, faute d'envies. J'écris lorsque je suis triste, déprimé. Une certaine idée en tête à évacuer, à vouloir l'étaler comme du beurre sur une tartine pour que l'on puisse la comprendre qu'à la fin. C'est tellement dur de laisser durer le suspens, de ne pas vous laissez voir la fin de Zombie, quelle qu'elle soit, son cheminement tout comme la mienne. Écrire lorsqu'on est perdu est encore une tâche plus ardue. Notre tête est ailleurs et on a beau essayer de décrire un ressenti par le biais d'une histoire, elle fini toujours par tourner en rond, j'essaye de l'éviter afin de vous faire voir le contraste entre les pensées d'une personne et ses actions en conséquences sur un long terme. La preuve, Zombie à beau avoir été inculte jusqu'à ses 17 ans, Alice, femme de 34 a réussi a l'aider, à lui faire voir qu'il pourrait compter pour quelqu'un pour ce qu'il était et non ce qu'il pourrait être. La suite? Ne vous en faites pas...

Pendant que Zombie étudier les nombreux volumes posaient tout autour de lui, une personne sorti d'une porte enfoncé à l'arrière de la boutique. S'était un vieillard, petit et trapu, Zombie avec l'obscurité environnante, lui aurait donné 80 ans. Il n'avait aucunement besoin d'une canne pour avancer, il tenait dans sa main une cigarette et un livre dans l'autre. Son regard était celui d'un sage ayant beaucoup appris dans sa vie. Il s'approcha de Zombie et lui dit:

- Bonjour à toi, a tu fais ton choix?

- En fait... Je ne sais pas par où commencer, dit il en montrant toutes les piles autour de lui

- Dans ce cas, puis je te conseiller ? Proposa-t-il d'une voix rugueuse

Zombie acquiesça. Le vieillard alla derrière deux piles de livres posés sur la table et revint avec un petit livre, fin et qui semblait assez récent. Il lui tendit et dit:

- Edgar Allan Poe était un très grand écrivain, bien qu'il soit mort de façon étrange, il fait partie des écrivains maudits. Prend le.

Une fois payer et remercier, ils partirent. Zombie tenait fermement le livre contre lui. Il avait hâte d'étudier ce livre et de voir à quoi pouvez bien être défini un auteur maudit. Le soleil d'été commençait à se faire de plus en plus faible dans les jours qui suivirent.

Le moment propice pour l'écriture? Sans doute celui d'être dans sa chambre plongé dans la pénombre, éclairé par une faible lueur bleuté avec une cigarette à la main, le portable dans l'autre. La raison de mon malheur ce soir. La musique résonne en écho. Mon cœur tremble. Devoir écrire des choses que l'on peut pensé, je l'ignore encore dans mon cas, mais avoir mal profondément. Écrire des choses que l'on pense ou pas? Oui, des messages instantanés via portable. Ce mal me hantera jusqu'à la fin de cette histoire. Car la vie prolonge cette histoire autant qu'elle me prolonge. Un continument sans fin. Malgré cela, cette histoire aura une fin. J'ignore encore laquelle, mais elle en aura une. L'inspiration n'est pas chose facile à obtenir. Les paroles de cette musique résonne encore... "If you ever need someone, sorry 'bout the things i've done..." Pourquoi pas? Pourquoi certaines personnes, voir toutes personnes que je rencontre savent quel mal m'habite? Dire la raison de tout ce mal priverait l'histoire de son sentiment principal, celle qu'elle habite et décrit. Le dénouement s'en fera que plus douloureux et sera suivit d'un sentiment de liberté. C'est le but que je cherche à obtenir. Puisse ma prière être entendue...

 

On va compter une ellipse. Espace dans le temps que l'on ne décrit pas. L'envie me manque. Elle s'éternise autant que mes ressentis. 2 Ans à attendre la mort, je la choisi désormais et qu'elle vienne me prendre maintenant que je suis las de tout ça. Exténuée comme personne ne l'a jamais été.

La date de notre histoire désormais? Le 8 Novembre 1888. La veille de notre dernier meurtre officiel de Jack L’éventreur. Comment eu-t-elle acquis ce pseudonyme? Le 27 Septembre 1888, peu de jours après que Zombie eut acheté son livre, Alice eut envoyé une lettre officiellement intitulé: "Dear boss"; J'ai donc pris la peine de la traduire et vous la résumer:

Elle avait entendu dire que la police avait capturer Jack l'Éventreur par le biais de la presse mais ils ne l'ont toujours pas attrapé, que la police prétendait être sur la bonne piste. Elle aime son travaille et a encore envie de continuer. Le reste n'a aucune autre importance.

Elle allait maintenant tué Mary Jane Kelly, alias "Ginger". D'après ce que lui a raconté Alice, elle se trouvait être la plus fidèle et vieille maîtresse de John. Son sort serait nettement plus cruel que les autres. Comment faire souffrir une personne? Autant physiquement que mentalement? La réponse est simple: il suffit de la séparer de ce à quoi elle tient le plus. Ensuite, il suffit de la laisser encore vivante au moment de la tuer, enfin, vous pouvez lui porter le coup de grâce.

Zombie se trouvait encore dans la maison d'Alice quand elle rentra, exténuée de cette journée. Elle avait bien vérifié toutes les procédures possibles et imaginables.

D'après les recherches d'Alice, Mary Jane louait une chambre dans le bâtiment 13 de Miller's Court, dans le quartier de WhiteChapel. La tâche serait davantage compliquée que les précédentes; la faute aux précédents meurtres dont l'enquête reste encore stérile pour les enquêteurs et le restera toujours. Seuls quelques hypothèses avaient été émise, sans réel fondement. Le plan était totalement à l'opposé des précédents encore. Zombie, ne devait sous aucun prétexte, resté dans la maison tout seul. Lorsque Alice tuera Mary Jane, il ne devra sous aucun prétexte aller la voir, ni parler à qui que ce soit. Alice prêtait garde à ne pas trop impliqué Zombie, surtout que ce meurtre risquait d'être celui dont les policiers parleraient le plus longtemps. Les avoirs assassiné n'avait guère apporté grand-chose à Alice, omis le fait d'être sûr et certaine que jamais plus, elles ne reverraient les êtres qui leur été chers.

Zombie s'était réveillé quelques heures plus tôt par la lumière du soleil. Il avait été bercé au sein de ses rêves et ce qu'il y vit le marqua le reste de la journée. Il avait été heureux. Plus que jamais il ne l'avait encore été. Les détails étaient encore flou, malgré cela, l'idée générale demeuraient.

"Il semblait chercher quelque chose avidement. Sa démarche était pressé, il regarda sur sa droite, quelqu'un se trouvait avec lui.Ils parlèrent ensemble, mais Zombie ne se rappelait plus le sujet de leur conversation... Il essayait d'atteindre un point précis derrière une battisse. Brusquement, il s'interrompt, il tomba alors nez à nez avec Rosaline. Elle le regarda, souri et lui dit:

- C'est la troisième fois que je te rencontre, ca doit être un signe...

Non que ça soit courtois, dans cette époque, la suite serait plutôt un saut temporel de deux siècles. Il rougit et il approcha sa joue et elle lui sauta au cou en l'embrassant. Il fut étonnement surpris de ce revers de situation. Les heures s'écoulèrent dans ce rêve... Il le réalisa que lorsqu'il s'approcha de Rosaline qui lui dit:

- Tu te rappelle sans doute ce que l'on a fait hier?

Elle souriait. Zombie, perdu lui dit qu'il avait sans doute oublié, faute à la fatigue. Je vous rappelle ici qu'un rêve est pas obligatoirement réel, seulement dans celui-là, il cherchait une excuse valide. Elle lui tendit des dessins d'eux, apparemment la veille... Elle était allongé auprès de lui, leurs deux visages étaient proches." Ensuite, les détails sont trop vagues pour pouvoir être narré.

Au réveil, il n'était plus le même. Des papillons abritaient son ventre, son cœur semblait s'être reconstitué, prêt à être de nouveau brisé. Il l'ignorait tout de même, c'est pour cela qu'il garda la journée durant, un sourire rayonnant et sincère. Mais, une partie de lui, aussi infime soit-elle, savait que tôt ou tard, il allait de nouveau devoir subir la dure réalité en la regardant dans les yeux. Ceci n'était qu'un rêve, un magnifique rêve... Et tout ce qui défini rêve est qu'il est irréel et magnifique. La peine allait le percuter d'un moment à l'autre et ça, il ne s'en remettrait pas. Ce qui enchainera alors une suite. La suite de la nouvelle relatera le nom d'un autre garçon, qui ne compte pas le même caractère, mais le thème le suivra.

Zombie a obtenu ce nom à cause d'un texte beaucoup plus ancien, et grâce auquel, de point en point, a pu conserver un caractère et vision du monde propre à lui. Il est une personne à part entière dans mon cœur. Il est ce que j'ai aimé. Il est la personne que j'ai aimé. Chibi Naka. Cela veut-il dire que ça s'en ai aller? Détrompez vous. Les personnes changent puis évolue. Je me retrouve face à une énigme de taille, que chacun a déjà eu un jour dû affronté, que cela soit tôt ou tard.

Le soir avant le meurtre de Mary Jane, Alice et Zombie avait longuement discuté. En entendant une durée réelle, il parlèrent jusqu'au repas, Alice dû alors partir achever sa tâche. Pendant cette conversation, ils étaient tout deux tendu:

- Te reverrai-je? demanda Zombie

- Tout chemin est un jour prêt à recroiser celui qu'il a rencontré, parfois ce n'est pas le cas. Mais cela ne veut pas dire que je t'oublierai un jour, si nos chemins ne sont pas amenés à se rencontrer de nouveau, sache que tu restera toujours dans mon cœur, lui dit-elle droit dans les yeux

Zombie soutint son regard. Il avait envie de pleurer. Lorsque Alice devrait partir, lui aussi devrait laisser la maison. La maison dans laquelle, Alice l'avait recueilli 3 mois plus tôt. Là où il avait appris à lire pour la première fois, là où Alice, blessé avait eut besoin de son aide... Ce fut cet endroit qui était le plus important à ses yeux. Et elle était la personne qui comptait le plus à ses yeux. Il en avait le cœur déchiré de ces adieux, de ce bonheur volé si brutalement, de cette solitude perpétuelle lorsque il se trouvait à nouveau seul sans Alice.

Elle avait prit soin de lui donné de quoi subvenir à ses besoins pour une année au moins. Si elle venait à mourir, elle lui aurait tout laissé, il était le fils qu'elle n'avait jamais pu avoir. L'enfant qui la chérissait, celui qu'elle avait pour ainsi dire, éduquer. Elle poursuivit alors:

- Tu ne m'a pas encore toucher mot de l'endroit auquel tu va te rendre?

- Je l'ignore encore. Mon cœur crie devant cet arrachement, il ne souhaite répondre à une chose aussi futile que l'endroit où il va résider pendant que la personne auquel il tient le plus au monde, la plus chère à ses yeux, s'en ira loin de lui

Elle posa sa fourchette et posa sa main sur celle de Zombie. Son contact était chaud, doux, agréable, comme un soleil irradiant une rivière laisser trop longtemps seule.

- Est-on réellement obligé? lui demanda-t-il, une lueur d'espoirs dans le regard

- Oui, il n'y a d'autres alternatives possibles je crains, ses yeux compatissants semblaient embués de tristesse, je te ferai signe si tout va bien

Il était perdu dans la détresse. Tous le rejeter un jour ou l'autre. Mon cœur s'arrêta, je hasardai mon esprit sur une pensée précise, et il s'arrêta de battre. Non, ca ne s'est toujours pas arrêter...

Une heure plus tard, Alice se prépara. Sa longue veste noire, son chapeau à la main, un foulard dans son corsage. Mettre son déguisement serait inutile si l'on se promenait naturellement dans la rue, elle aurait trop de soupçons sur elle. Elle enlaça longuement Zombie, jusqu'à ce qu'il s'arrête de pleurer quelques minutes. Hoquetant, il lança un dernier regard amplis de detresse à Alice. Elle semblait aussi effondré, mais ne pouvait se permettre de le lui montrer.

Finalement, elle parti, laissant Zombie seul à son agonie. Il continuait toujours de fixer la porte qui venait de se refermer derrière elle. Dans sa tête, tout devenait lent, il avait peine à réaliser encore son départ. Son départ définitif. Lorsqu'il revint à lui, il cligna plusieurs fois des yeux et s'écroula au sol en pleurs. Il martelait furieusement du poing le sol boisé, à la faible lueur des chandelles posés sur la table. Il s'allongea par terre, tête posé contre le sol froid. Vous rappelez vous le début de l'histoire? Je mentionnais des personnes ayant chaud ou froid selon leur humeurs. La température, ayant déjà baissé de quelques degrés durant le repas, se trouvait maintenant à son niveau la plus faible, elle avait chuté de 2 degrés environ. Il se sentait malade, atteint de fièvre dans la tête, ses membres étaient parcourus par des spasmes glacés, il sentait chaque parcelle de peau avoir la chair de poule, il était gelé. Il avait beau se prendre lui même dans les bras, sa température n'augmentait pas plus, il grelottait. Il pleurait maladivement, à cœur ouvert et blessé.


Alice regarda derrière elle la maison et l'enfant qu'elle y avait laissé à l'intérieure. Une larme coula sur sa joue l'espace d'une seconde, puis sa détermination et sa soif de vengeance l'appelèrent, son regard devint assuré. Ses pas se faisaient de plus en plus rapide, elle avait du mal à se contenir. Elle couru presque. Arrivé dans la rue de la battisse, elle vérifia si personne ne se trouvait encore là. Le bâtiment 13 était un immeuble qui ne recueillait aucun gardes, quand elle arriva sur le palier de la chambre de Mary Jane elle n'avait rencontré personne. Elle tapa trois fois à la porte. Il devait être trois heures du matin environ. Personne ne répondit, puis... quelques secondes plus tard, un cliquetis se fit entendre et la porte s'ouvrit doucement. Mary Jane était derrière la porte, son visage fin et ses yeux bleu semblaient encore plongés dans le sommeil duquel Alice l'avait tiré. Alice sourit et lui dit:

- Puis je entré?

Mary Jane ouvrit grandement la porte, Alice entra. Mary Jane resta silencieuse, mais continuer de scruter Alice. Elle la connaissait. Elle l'avait déjà vu accompagné de John dans la rue avant qu'il vienne se réfugier dans ses bras le soir... Avant qu'il se fasse tuer. Mary Jane se douté que la mort de John n'avait été accidentelle, c'est pour cela qu'elle était aller voir les policiers pour les mettre au courant mais faute de preuve, Alice s'en tira.

La vérité que je porte, est dur à être arraché. Elle s'accroche à mon cœur comme un poison. J'ai besoin de temps, encore... Pourquoi ne peut-on pas s'endormir l'esprit libre de toutes contraintes? Justement, la vie mérite d'être vécu, sans haut ni bas, elle est inutile. Or, ce problème n'est pas banal. A cette histoire, je lui ai donné tout mon cœur, ou presque. Seulement, pour être de nouveau libre, il faut que je puisse dire les choses tels qu'elles sont. Or, ce n'est pas évident. Pourquoi? Je suis une trouillarde. Réellement, j'ai peur, j'ai peur de tout ce qui pourrait arrivé. Du mal qui s'engendrerait, alors que si je ne parlais pas, je serais la seule à souffrir. Alors, je décide d'attendre un certains moment.

Alice avait une haine profonde envers Mary Jane. Ceci engendre cela. Elle lui fit croire qu'elle était une femme aimant les autres femmes et que ce soir, elles auraient besoins d'elle. Or, Mary Jane savait la vérité. Elle connaissait très bien Alice. Toutefois, elle lui obéit, elle s'allongea sur le lit. Alice vint vers elle, tel un oiseau frêle et léger, la regarda dans les yeux tout en s'asseyant à ses cotés. Elle lui communiqua toute sa haine, puis dans un geste surprenant, Alice dégaina sa lame hors de sa botte droite et lui coupa la gorge. Le sang coula à flot, ce qui enthousiasma la folie d'Alice. Le travail commençait et s'achevait ici. La tête de Mary Jane tomba légèrement sur la gauche, contre sa joue qui baignait dans les éclaboussures de sang. Alice haïssait son visage, ce visage qui avait été tant vue par John, sa bouche qu'il avait si souvent caresser... Alice se pencha sur son visage inerte et commença a découpé ses lèvres. Sa chair été à vif, sa soif de vengeance l'emporta et elle se mis à lui mutiler le visage, jusqu'à l'os. Il ne restait que ses globes oculaires, découvrant des yeux éteints et globuleux. Elle continua alors sa tâche et descendis quelques peu jusqu'à son cou... Ce cou, encore sale de luxure et de souvenirs la marquant... Elle coupa la peau qui recouvrait ses cordes vocales, larynx, etc... et laissa les lambeaux ci et là partout autour d'elle. Elle voulait la recréé tel qu'elle la voyait. Une immondice méritant que la mort. Simplement. Ce qui suit sera sans doute son plus beau chef-d'œuvre, tout comme horreur.

Prise dans un élan frénétique d'envies sanguinaires, Alice écarta violemment les cuisses de la sanglante Mary, ce qui provoqua un angle droit des deux cuisses par rapport au reste du corps. Elle semblait désarticuler, mais le pire restait à venir... Elle approcha son couteau de ses cuisses, remontant sa robe de chambre jusqu'à son ventre, et entailla sa chair de coups secs et vif. Impulsifs. La peau, la chair, le sang qui coulait des cuisses de Mary Jane éclaboussa le visage d'Alice pencher sur le corps inerte. Toutes les parties de son corps étaient encore visible et reconnaissable, ce qui mit Alice dans une rage immense. Elle imaginait John et elle, une année plus tôt, dans des ébats physiques aigües, son cœur rata un battement, ce qui déclencha une nouvelle vague de colère. Elle planta des coups de couteau dans sa partie génital, l'enfonçant profondément et leva le couteau de façon a tout découpé. Ses organes étaient devant elle. Elle lui arracha violemment l'utérus, la vessie, l'abdomen et enfin, après les avoir prélever, découpa sa poitrine. Désormais, l'on voyait ses cotes ensanglanté, cachant son cœur derrière des barreaux d'os et de tissus organiques. Elle posa un sein en dessous de la tête de Mary Jane de telle façon à lui faire un oreiller reposant sa tête, et déchira le tissus organique entre ses cotes, et lui enleva le cœur. Il ne battait plus, il était désormais dans la main d'Alice, aussi gros qu'une pomme, encore un peu chaud. Que pouvait elle en faire? Le lui en privée? Après tout, elle ne le méritait guère... Alice rangea le cœur dans une de ses poches intérieurs et disposa les organes ci et là près de la victime, empilant certains sur la table à gauche d'elles. Alice se leva et la regarda.

Elle avait enfin terminé... Sa victime, sa dernière victime reposait là, devant elle et était désormais méconnaissable. Le matelas était recouvert de sang et de peau, d'organes et de lambeaux de vêtements. Maintenant, que tout était pour le moins fini, elle devait s'enfuir et retrouver Zombie avant qu'il ne s'en aille vraiment loin. Elle se recouvrit le visage, mis son chapeau et s'élança jusque chez elle.

Zombie, toujours à terre, n'arrivait plus guère à respiré. Sa respiration se faisait de plus en plus courte, brève. Il était réellement gelé, ses membres ne répondaient plus à ses ordres, à ses attentes. Alice ne reviendrait pas, ni Rosaline. Alice qui était partie vivre sa vie sans lui, qui l'avait laissé à l'abandon, seul et désespéré sur le plancher de sa maison. Il n'avait le cœur à quitter cette maison, trop sentimental à son gout. Cette maison dans lequel il se sentait comme chez lui. Rosaline, qui vivait sa vie aux cotés de son fiancé... Qui ne se souciait plus guère de lui, semblait l'avoir oublier... Son cœur battit et s'arrêta.

Son Angoisse fini par le privé de vie. Personne ne semblait souhaité être avec lui, l'accompagner dans sa vie, lui donné une raison de vivre à long terme. Tout n'était qu'éphémère, cela venait, puis un jour, au moment où l'on s'y attend le moins, l'amour vous abandonne et vous laisse crever au sol sans moyens de s'en sortir sans versé du sang. Ses pensées allèrent alors vers Alice et Rosaline, les deux personnes qu'ils chérissaient le plus. Alice, sa seconde mère, à la fois sauvage et volatile comme douce et posé. Rosaline, la belle Rosaline, douce et attendrissante, ses yeux merveilleux... Zombie connu une fin atroce. Il fut mort seul. Son seul soupir fut récolté par le souffle du vent par la fenêtre encore resté entre-ouverte. Il demeura qu'une ombre et une pensée.

Alice ouvrit doucement la porte, ne s'attendant à ne rien voir. La pièce était dans le noir, les bougies s'étaient éteintes, faute au vent ou au temps s'étant écoulé. Elle avança jusqu'à la table de bois et posa son chapeau. Quand soudain... Son regard se posa sur une tache au sol. Une tache d'une grande longueur, elle aurait pu supposé un homme. S'était le cas, un grand garçon reposait là, allongé et recroquevillé dormait sur le sol. Elle le reconnu alors, choquée et le pris dans les bras en le secouant. Le garçon ne dormait pas, il était glacé, son cœur ne battait hélas plus...

- Ne me laisse pas ... Je t'en supplie... Sanglota Alice, emplie de remords

Elle l'avait abandonné à son sort, elle ne pensait pas qu'il allait rester, qu'à son arrivé, elle le retrouverait mort sur le sol de chez elle. Elle cria. Si fort, si haut que tout le quartier aurait pu l'entendre, mais personne ne se manifesta. Et elle s'en fichait. Zombie, son second fils, son aimé était mort quelques heures avant qu'elle ne revienne. Elle l'avait fait pour eux. Pour pouvoir vivre en paix, loin de toutes vengeances. Maintenant, le visage de Zombie reposait dans ses bras, les yeux fermés... Il semblait dormir... Elle connaissait son visage de cœur, nombres de fois qu'elle l'avait observé étant endormi. Ses cheveux étaient sur ses paupières closes, ses bras ballants balançaient lorsque Alice secouait un peu Zombie. Elle pleura toute la nuit, ainsi que la journée du lendemain.

Mais pourquoi ne pas se tuer? Car, la mort ne lui apporterait rien de ce qu'elle connaissait. il était possible de vivre sans les personnes qui nous sont chers, or ce n'est pas évident. La force de caractère d'Alice le lui en a empêcher et de justesse. Car si Alice, plus tôt, s'était suicidé elle aussi à la mort de son mari, Zombie ne l'aurait jamais connu et il aurait continuer de vivre, ou peut être pas. Néanmoins, l'histoire fut celle là, et ils n'en connurent aucune autre. A leur dépends. Elle continua de vivre malgré tout et attendit que la mort vienne pour la prendre et l'amena vers ses proches. Zombie lui, était bien trop faible pour pouvoir imaginer sa vie seul, sa vie sans les êtres qui l'avaient fait changé inconsciemment pour être meilleurs. Il avait déjà décider de sa mort, que si Alice et Rosaline, venait à le quitter, venait à ne plus vouloir le voir, à l'oublier, il savait qu'il allait en souffrir... Il ne pouvait le supporter alors il préféra la mort plutôt que de voir la personne qu'il aimait avec quelqu'un d'autre en étant heureuse, et Alice n'ayant plus besoin de lui et le renvoya dans la rue où elle l'avait trouver...

Cette histoire mérite un dernier chapitre pour lui rendre hommage. Rendre hommage à Zombie, à une vie qu'il a eu et a pu savourer même ce fut quelques mois. On ne voit pas parfois les raisons évidentes qui nous pousse à écrire une nouvelle ou bien encore les idées qu'elles cachent, ce n'est qu'en les étudiants attentivement que parfois nous pouvons réussir à en extraire l'idée principal et les sphères qui gravitaient autour d'elle. Simplement, il y a parfois des choses que l'on voudrait cacher, or toute vérité ressort tôt ou tard. A nos dépends. Que l'on soit obligé ou bien par remords, on avoue tout. Car l'humain ne peut vivre dans le mensonge éternellement. Zombie aurait voulu avoir traiter certaines personnes de différentes façons, oui l'on ne se controle pas et c'est pour cela que je fut effondré et je confesse. Par dépit. L'on m'a forcé la main, mais ce qui nous tue pas nous rend plus fort? Un jour prochain, je serais à l'égal de ce que l'on attendra d'une personne comme moi. Force, Sagesse, Honnêteté, Self-control, Liberté. Ce jour arrivera, simplement le monde ne sera plus là pour contempler ces exploits prochains. Au monde et à la terre entière, rien n'arrive par hasard, certaines personnes sont nés comme cela, l'on ne choisi pas d'être une personne d'exception. Je ne parle pas obligatoirement de moi, je parle de tout ceux qui sont une personne d'exception. Oui, car eux, sont promis à un grand avenir.

 

 

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Commentaires
M
Ahah, désolée ! Je suis là longtemps, le week-end alors on la fera ce week-end si tu veux <3<br /> Il faut que tu me dise la phrase ! o:<br /> <br /> Et il faut que tu mettes des photos de toi sur ce blog, GRRR. Je t'aime <3
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